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    C’était un joli jour d’été. Le Soleil brillait et faisait briller toute la verdure de la prairie  Les arbres en fleurs donnaient beaucoup de beauté et la vie avait un autre parfum.

    Sauf quelques animaux dit, sauvages, de grand  port et les oiseaux qui volaient et se posant de temps en temps pour chercher de la nourriture dans un chant constant, animaient musicalement toute la prairie.

     

    Avec l’arrivée de la nuit, ici et là, d’autres animaux qui jusque là s’étaient régalés à l’ombre des beaux arbres, évitant ainsi qu’ un chasseur furtif  puissent  les trouver.

     

    La nuit est arrivée en pleine beauté avec la Lune qui argentait toute la prairie.

    Des lapins et des lièvres, ont commencé aussi à arriver, des de la gauche, des de la droite, ils apparaissaient de tous les cotés

    En courant par ici, en courant par là, ils cherchaient l’herbe la plus tendre, donc la plus fraiche

    Petit à petit, déjà avec leurs ventres bien pleins, les plus âgés ont commencé à former des groupes d’amis et discutaient de tout et de rien, mais principalement de la crise qui commençait à s’installer dans les  prairies.

     

    -C’est cela, mes chers amis, je ne sais pas qui est le coupable  de tout cela, se que je sais, c’est que si cela continue, nous aurons besoin d’émigrer vu que l’herbe par ici elle est de jour à jour plus rare, a dit un des lapins.

    -Tu as raison. J’ai toute une famille à nourrir et si cela continue comme cela, moi aussi, je ne sais plus quoi faire, a dit un autre lapin père de famille.

    Mais nous savons très bien qui est le coupable, c’est les hommes bêtes qui ont  tout détruit , il viennent ici arroser la prairie avec des liquides qui brulent tout.

    -C’est vrai, tous les lapins ont dit d’une seule voix mais si fort que le son a traversé toute la prairie.

    Les jeunes lapins qui s’ amusaient, dansant et chantant, courant et qui sautaient ont de telle façon peur qu’ils se sont sauvés de tous les cotés.

     

    -Tiens, tiens, tiens… Mais c’est Timide et Pinpam  qui viennent dans notre direction, si, si, ce sont bien eux, n’est ce pas?

    Un des lapins a nettoyé bien ces lunettes, a remonté les sourciles, a passé la patte sur sa moustache et il a dit:

    -Si, si, ce sont eux, si, si,.

     

    Timide et Pimpam se sont approchés , Pinpam marchait avec une canne, cependant que Timide toujours belle, malgré son âge.

    -Tient, voilà Pimpam et Timide! Il y a combien de temps que nous ne vous voyons pas!… Alors, que devenez vous? Mais Pimpam, tu marches avec une canne, tu as cassé une patte?

    -Non, mon cher ami, non, parfois je pense que serait bien mieux si j’avais cassé une patte, mais malheureusement c’est l’âge, j’ai de l’arthrose


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    -Oui, oui de l’ arthrose, certains jours tout va bien, des autres cela ne va pas du tout.

    -Mais Timide… toujours belle!

    -Heureusement qu’ à mon âge, rien ne me fait rougir, sinon, je serais déjà rouge comme une tomate., ihihihihhi.

    Alors, vous êtes venus visiter la famille, n’est ce pas?

    -C’est vrai, après la mort de mes parents, nous sommes restés seuls dans la prairie, nos enfants se sont mariés, nous sommes des grands parents et aujourd’hui, nous sommes venus ici pour les visiter, 

    Nous étions là bas à parler avec des amis et nous avons entendu vos contestations,  de quoi s’agit ’il? -

    De que s’agit ’il… de quoi s’agit ’il… c’est le problème de l’herbe brulée, empoisonnée, je ne sais rien!

    -Et que pensez vous faire? Vous savez. La, ou nous habitons, le problème est le même et notre colonie elle est peu à peu, moins nombreuse.

    -Et que faites vous? Vous ne protestez pas?

    -Protester!… pour quoi faire? L’homme est bête, il a tout le pouvoir  et il continue à détruire nos terres. Si cela continue comme cela, un jour, il vont nous faire comme les américains ou aux pauvres indiens, il vont nous pousser dans une réserve sans importance et nous resterons sans liberté et nous resterons sous les ordres de ces bêtes. 

    -Et si nous allions parler avec le chef Grandes Oreilles? Comme chef de la commune. Il doit savoir ce qu’il faut faire.

    -Cela me semble une bonne idée, nous pouvons y aller demain.

    -Entre temps, racontez-nous un peu votre vie, depuis tant de temps sans nous voir…

    -Oh.. rien de spécial, la routine, mon ami, la routine, je ne peux rien faire vu mon âge et ainsi que Timide, nous sommes à la retraite, une petite retraite, depuis  tants d’années à soigner l’herbe… mais quoi faire?

    Vous savez que pendant la campagne des élections, les promesses sont énormes, rien d’autre.

    -C’est vrai.. C’est vrai, soit une République ou une Monarchie, ils sont tous égaux. Ils regardent que l’herbe qu’ils nous volent en payant nos impôts, C’est comme cela, la vie des pauvres, mes amis.

    Bon, nous parlerons avec le chef demain.

     

    Tous se sont dit au revoir, la nuit commençait à terminer déjà.

     


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    Le lendemain, tous sont allés pour parler avec le Chef Grandes Oreilles qui était déjà informé de la visite.

     

    -Chef Grandes Oreilles, nous somme ici réunis pour vous parler…

    -Si je ne me trompe pas, vous monsieur lapin, vous êtes Monsieur Pimpan, n’est ce pas?

    -Oui, Chef, mais comme j’allais dire…

    -Non, ne dites plus rien! Que je sache, ce monsieur Pimpan, n’appartient pas à cette communauté, vous n’avez pas voté ici, donc, vous n’avez pas le droit à la parole.

     

    Beaucoup de voix de révolte se sont levées. Parler comme cela à Pimpan, un des lapins le plus âgé… mais c’est un manque de respect!

    -Ce n’est pas la peine contester, Chef Grandes Oreilles, vous savez, votre antécédent était quelqu’un de très amis à tous , sans importuner ou ils pouvaient habiter ou pas, il était un Chef digne de ce nom, nais vous avez raison, je ne parlerai pas!

     

    Tous les présents ont protesté, personne était d’accord avec le Chef Grandes Oreilles.

    -Bon… à la fin, pourquoi vous êtes venus ici me déranger?

    -Déranger… Chef? Non! Nous sommes venus ici tout simplement pour vous dire que maintenant il y a moins d’herbe dans la prairie et nous aimerions savoir, que pensez vous faire pour résoudre ce problème.

    -Mais que voulez vous que je fasse? Si vous n’ êtes pas contents …. Tenez, faites la grève!

    -La grève? Mais la grève de quoi?

    -Faites la grève de la faim, comme cela, il y aura plus d’herbe. 

    -Mais c’est un scandale! Aux prochaines élections, contez sur nous.

    Tristes, têtes baissées, tous le lapins ont abandonné le local en commentant le manque de responsabilité du Chef.

     

    -C’est toujours comme cela, quand nous avons besoin que les responsables doivent résoudre nos problèmes , il ne font rien et encore nous dédaignent.

    Enfin, ils continuent à croire, que les hommes prennent conscience du mal qu’ils font à Mère Nature, qu’ils s’arrêtent d’empoisonner les prairies et pour qu’un jour, peut-être, nous puissions vivre heureux comme nos ancêtres.

     

     

                                                                                                               FIN


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         PAGE 1 

    Nous étions dans l’année 2005.

    Tante et nièce habitaient la même maison au bord de la route. Comme l’école n’était pas loin, les gamins passaient à leur porte et  les gamins les provoquaient constamment, elles n’appréciaient pas du tout les provocations et  répondaient férocement mais les gamins adoraient la situation et les provoquaient de plus en plus.

     

    La tante et la nièce commençaient à en avoir marre d’écouter les gamins qui tous les jours ne faisaient que ça, provocation derrière  provocation.

     

    -Écoute, ma nièce, cela ne peut pas durer, le mieux c’est de trouver une maison isolée de la ville, car mes nerfs ne tiennent plus.

    -Mais ma tante, ou allons nous trouver une si belle que celle ou nous habitons?

    Nous avons un petit jardin, une cour, de toute façon les gamins ne passent que trois ou quatre fois par jour, dans la journée nous pouvons faire notre sieste tranquille et nous amuser, en plus le loyer  n’est pas cher du tout.

    -Je peux être d’accord avec toi, mais il faut que je quitte cette maison, j’ai les nerfs à  fleur de  peau. Je te comprends, tu n’as qu’ une année, moi j’ai trois ans, donc, je vois les choses d’une façon différente. 

    Tu sais, cette nuit je n’ai pas dormi à cause de tout cela , j’ai réfléchi et j’ai eu une idée, si nous partions du Portugal?

    -Quoi!? partir du Portugal… mais pour aller ou?

    -Je ne sais pas, pour la France, par exemple!

    -Pour la France… laisses-moi rire et tu vas comment en France? En train, c’est interdit, en car, idem, idem, en stop? Je n’irais pas, nous risquons  que quelqu’un nous garde et nous attache avec une chaine pour garder la maison, ah, non, ici je suis libre, non, non, je ne suis pas d’accord.

    -Nous pouvons aller à pieds.

    -A pieds? Tu penses que je veux me faire écraser pour une voiture conduite par un fou ou par un camion? Tu es folle ma tante, tu es folle!

    -Mais non! Nous allons traverser les champs.

    -Bon ma tante, je te dirais demain ma décision.

    En se faisant la bise et en se souhaitant une bonne nuit, elles sont allées dormir.

    Nougatine était la tante, deux ans ,de vie, la nièce, une année de vie, donc, Nougatine avait plus d’ expérience.

     

    Je tiens à vous dire, que Nougatine et Amande, sa nièce, sont deux adorables petites chiennes. Elles sont nées au Portugal et vivaient heureuses à part le problème des gamins

     

    Le Lendemain matin, Amande pendant qu’elle prenait son petit déjeuner, attendait le meilleur moment pour annoncer à sa tante sa décision.

     

    -Bon, ma tante, j’ai bien réfléchi pendant la nuit et j’ai pris ma décision, je suis d’accord à partir, mais d’abord il faut faire le plan du voyage, la France n’est pas la porte à coté.

    -Je suis d’accord avec toi, cette après midi, nous allons commencer à étudier notre stratégie pour que le voyage se passe sans problèmes 

     

     

     

     


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    -Bon, allons regarder la carte des terrains que nous allons traverser, par la route, c’ est impossible nous risquons de nous faire écraser.

    Par les champs, il faut marcher parallèlement à la route nationale comme 

    cela nous n’aurons pas de problèmes, si nous allons au long de l’autoroute, après nous ne pourrons pas la traverser.

    -C’est bien vu, a répondu Amande, c’est bien vu!

    -Demain, nous partons le soir quand il fera déjà nuit, personne ne nous verra  partir et nous commencerons à passer par le verger de poiriers à côté de chez nous, tu es d’accord?

    -Je ne peux être que d’accord, c’est un très beau plan et après le verger?

    -On verra cela par la suite, tout se passera selon le chemin déjà parcouru

     

    Le lendemain, vers 22 heures, tante et nièce ont mis les pattes au chemin mais avant elles ont bien rempli leur estomac vu qu’elles ne savaient pas comment les choses vont se passer pour manger

    Au village, personne ne les a vu partir, elles sont entrées dans le verger et elles ont parcouru a peine un kilomètre, Amande a démarré en vitesse et en aboyant en même temps.

    -Amande!!! A criée Nougatine, viens ici et tait toi, tu es folle quoi, il ne faut pas faire du bruit.

    -Mais tante, tu n’as pas vu un chat qui est passé devant notre nez?

    -Mais tu me racontes quoi? Ou tu as vu un chat? Tu ne sais pas faire la différence entre un chat et un lapin? Et même si s’était un chat, tu ne sais pas qu’il faut marcher en silence?

    -Excuse moi, ma tante, a dit Amande, excuses moi, mais tu sais bien que je ne supporte pas cette race.

    -Gardes ton racisme pour plus tard, ce n’est pas le moment.

     

    Après cette petite leçon, Nougatine et Amande ont continué leur route.

    Elles ont bien marché, elles ont fait pas mas mal de kilomètres et vers 4 heures du matin, Amande a commencé à donner des signes de fatigue.

    -Tante, je ne peux plus marcher, je suis très fatiguée!

    -Vu la position de la Lune, il doit être 4 heures, 4 heures et demi, bon nous allons trouver un endroit ou nous pouvons nous cacher et dormir toute la journée, pendant le jour nous ne pouvons pas nous exposer au regard des personnes

     

    Elles ont bien cherché et ont trouvé un trou dans la terre, une espèce de caverne et en plus il y avait un nid fait en paille.

    -Tiens, c’est très bien ici, regarde, Amande, il y a même un lit, on dirait que quelqu’un savait qu’on venait et nous a préparé notre cachette..

     

    Fatiguées comme elles étaient, toutes les deux se sont endormies rapidement.

     

    Le Soleil avait commencé à disparaitre et la Lune commençait à montrer sa lumière argentée.

     

     

     

     


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    PAGE 3

    Nougatine et Amande, fatiguées de la journée de marche de la veille, ont dormi

    comme une pierre.  

    La première à se réveiller, fut Nougatine.

    - Amande, Amandeeee, réveilles toi, c’est l’heure de recommencer notre voyage.

    Amande, petit à petit a commencé à ouvrir ses yeux encore pleins de fatigue.

    Elle s’est levée et en compagnie de Nougatine, sont parties pour une deuxième nuit de marche. 

    -Tante, ou est ce que nous allons trouver à manger? Je commence à avoir faim et si nous ne mangeons pas, nous n’aurons pas de force pour marcher.

    -Je sais, je sais, ne t’inquiètes pas, nous allons trouver un restaurant qui ferme  le soir et il y a toujours quelque chose dans les poubelles, tu verras!

     

    Nougatine avait raison. Toutes les deux sont arrivées dans un village et les restaurants et les bars fermaient ses portes.

    -Tu vois? Je t’avais dit ! Viens, rase bien le mur pour que personne ne nous regarde . Tiens, là bas une poubelle d’un restaurant. Nougatine a regardé à droite et à gauche, et il n’ y avait personne.

    Toutes les deux ont commencé à exploiter les sacs poubelles et elles ont fini par  trouver des bons morceaux de viande avec lesquelles elles se sont bien régalées.

    Fini le repas , les pattes en route.

    Comme elles marchaient à travers des champs et montagnes  normalement le chemin était raccourci  et au petit matin la frontière de l’ Espagne était déjà bien près.

     

    -Bien, bien, Amande, Espagne à vueeeeeeeeeeeeee! Maintenant nous allons chercher un abri pour dormir toute la journée et ce soir nous serons de l’autre coté de la frontière et notre aventure commencera à prendre une raison d’être.

     

    Les deux aventurières, sont allées chercher de l’eau et manger un peu et une fois 

    avoir bues et mangées, elles ont trouvé une vieille maison abandonnée.

    En courant, elles sont entrées dans la maison.

    La maison avait plusieurs pièces, toutes en ruine, et….

    Oonnrontttttt, oonronttttttttttttttt.

    Nougatine  et Amande ont été prises de panique et en tremblant elles se sont collées au mur. Une bête à quatre pattes grise foncée, avançait en leur direction. Nougatine a pris Amande par une patte et toutes les deux se sont sauvées de la maison.

    La bête en question en vérifiant le départ des deux intruses qui se sont introduites chez lui, est resté à sa porte à surveiller.

    Amande et Nougatine, cachées derrière un gros arbre, regardaient la bête en question.

     

    -Tante, c’est quoi cette bête? Demande Amande.

    - Un loup, ma petite, un loup, un sauvage.

    -Un loup? C’est quoi un loup?

    -Mais tu ne connais pas l’histoire du Chaperon Rouge?

    -Non tante, je ne connais pas, c’est quoi?

    -Bon, je te la raconterais un de ces jours.

    -Promis? a demandé Amande.

    -Promis!

    .

     

     

     

     


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     PAGE 4

    Vu les événements, Nougatine et Amande, n’étaient pas sûr du local ou elles pouvaient dormir. Elles ont encore marché un peu et ont trouvé dans la montagne, une place protégée par des gros rochers  et après avoir regardé aux alentours, comme tout leur semblaient calme elles ont décidé de rester dans ce local

    Toute la journée s’est passée sans problème et le soir elles  furent réveillées par des couinements bizarres.

    Nougatine et Amande, se sont réveillées en sursaut, doucement elles ont quitté leur niche, Amande tremblait de peur, Nougatine moins mais la peur était bien en elle et tout d’un coup Nougatine s’est mise à rire.

    -Pourquoi riez vous, ma tante, demande Amande?

    -Je ris parce que nous avons eu peur pour rien.

    -Pour rien? Et alors ce bruit bizarre, ma tante?

    -Mais ce n’est rien ma fille, ce n’est rien, regardes la branche la haut, tu ne vois rien?

    -Non ma tante, je ne vois rien!

    Regardes bien la haut à ta gauche, tu ne vois pas une espèce de gros balai bien poilu?

    -Ah… si… si… je vois, mais depuis quand les balais couinent?

    -mais non, mais non, je te n’ai pas dit que c’ était un balai, ma grande, non, ce que tu vois, regardes, regardes, tu as vu? Il s’est déplacé ver une autre branche.

    -Mais c’est quoi, cette bestiole?

    -Mais tu ne connais rien, ma fille, tu es vraiment ignorante!

    -Ignorante, moi? Répondit Amande avec une petite larme qui coulait de ses beaux yeux, mais comment voulez vous ma tante, que je sache, si c’est la première fois que je quitte la ville et alors, et alors, je n’ai pas encore la même instruction que vous, ma tante!

    -Je sais, je sais, ma grande, ne pleures pas, je n’ai pas voulu te vexer, loin de là!…

    Mais alors comment s’appelle l’animal?

    -C’est un écureuil, ma nièce, tu as déjà vu en ville à la Caisse d’Epargne, la photo.

    - Ah c’est vrai, a dit Amande en riant, c’est vrai et la photo a aussi une grosse queue, hahahaah.

    -Cela tombe bien qu’il nous a réveillé, c’est l’heure de partir, nous allons voir s’il y a par ici un ru pour prendre un bain, nous avons bien besoin.

    - Chouetteeeee! A criée Amande, j’aime bien l’eau, mais vous, ma tante, vous n’aimez pas du tout l’eau, comment faire?

    - Ne t’inquiètes pas, quand il faut, il faut et cela me fera du bien.

    Toutes les deux sont parties à la recherche d’un ru.

     

     


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    Elles ont marché environ un kilomètre et ont commencé à écouter  le chant des eaux, qui entre les roches, coulaient pressées sur le lit d’une jolie petite rivière entourée de verdure, un local d’une grande beauté.

    -Comme c’est joli, a dit Amanda, je n’ai jamais vu une beauté pareille c’est normal, dans la ville il n’y a pas rivière qui passe.

    -C’est vrai, a répondu Nougatine, c’est vraiment beau! Bon, il faut nous dépêcher, il nous faut encore chercher quelque chose à mettre entre les dents et après il faut partir vers la frontière, nous allons passer à pied, puis- que j’ai vu du haut de la montagne, qu’il ya une rivière, mais comme je n’aime pas trop l’eau…

    Si tôt, si tôt fait, toutes les deux sont entrées dans l’eau pour un réconfortant bain matinal

    -Oh secours, oh secours… criait Amande en sortant en courant de l’eau.

    -Qu’ as tu, ma nièce, tu trembles de froid?

    Pas du tout ma tante, pas du tout. Je nageais et tout d’un coup j’ai vu un monstre qui a sauté devant mon nez, tante, j’ai peur!

    -Quel monstre?

    -Oui ma tante, là bas, regardes je le vois et il me regarde!

    Nougatine est venue sur le local indiqué par Amande regarde et a commencé à rigoler.

    -Pourquoi rigolez vous, ma tante, ce n’est pas drôle du tout.

    -Mais si, c’est drôle. Viens avec moi.

    -Ah… non ma tante, je ne vais pas!

    -Ne soit pas peureuse, je vais te montrer le monstre qui ne fait mal a personne.

    - regardez. Regardez, il est la.

    -Oui, je le vois, oui, mais ce n’est qu’un brochet qui nage paisiblement ma grande, tu as peur de tout et de rien

    -Bon, ça suffit, allons en nous d’ici et partons à la recherche du manger.

     

    Elles sont arrivées vers deux heures du matin à une ville qui touchait la frontière. Dans une ville frontalière, il y a toujours beaucoup de restaurants et cela a été facile de trouver à manger.

    Après avoir mangées, toutes les deux rasant les maisons, doucement pour éviter d’être vues, Nougatine a fait ses études pour trouver la stratégie pour que les deux puissent passer sans être vues.

    À ce moment là, tout était calme à la frontière et la police relâche un peu la garde ,de ce faite elles ont profité pour passer.

    Elles sont passées mais un agent de police a vu la manœuvre et a appelé un collègue.

    -Eh… António, regarde les chiens qui viennent  de passer, tente d’ éviter qu’ils continuent.

    Courre, courre, Amande et elles sont parties toutes les deux et António, le policier n’a vu que du feu.

    -C‘est bon , Amande, nous sommes sauvées.

     

     


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    PAGE 6

    -Ouf, maintenant nous pouvons marcher tranquillement mais en faisant toujours attention, Amande, nous sommes encore dans la ville et je ne sais quel chemin prendre pour pouvoir continuer notre voyage.

    -Ao,ão ão ão.

    Tiens, écoutes, il y a un chien pas loin d’ici, si on le trouve nous allons lui demander la route à suivre.

    L’aboiement venait de pas loin et à l’entrée dans une autre rue de la ville, elles ont vu le chien.

    Le chien lui-même est venu vers elles.

    Nougatine et Amande se sont arrêtées, elles ne savaient rien des intentions du chien.

    Le chien s’est approché, les a reniflé toutes les deux et ão, ão, mais avec un aboiement gentil.

    Nougatine a pris confiance et lui a demandé la route à suivre.

    Le chien a commencé à expliquer en langage espagnole et Amande le regardait avec les yeux grands ouverts et les oreilles ainsi que la tête tournait de tous les côtés, elle ne comprenait pas un mot de ce qu’il disait.

    -Mais ma tante, quel espèce de chien est celui là? Je ne comprends rien de ce qu’il dit, vous le comprenez, ma tante?

    -À vrai dire, pas tout à fait, mais il est un chien comme nous, avec la différence qu’il est espagnol, donc, il parle espagnol!

    -Il parle espagnol? Mais les chiens ne parlent pas tous la même langue? 

    - Mais non, ma fille, mais non, nous sommes portugaises, nous parlons le portugais, il est espagnol, il parle espagnol, tu ne trouves pas cela logique?

    - Si tante le dit, oui!

    Entre aboiements et gestes d’explication, le gentil chien a fait signe pour que Amande et Nougatine le suivent.

    Nougatine a commencé par hésiter, elle ne connectait pas les intentions du chien, en plus d’un chien étranger, on ne sait jamais les intentions.

    Comme le gentil chien a insisté, elles se sont décidées de l’accompagner.

    Pressés, les trois ont pris le chemin d’une petite ruelle .Tout d’un coup,

    le chien s’est arrêté et s’est mis contre Nougatine et Amande les poussant contre le mur de la maison.

    Elles ont eu peur, mais le chien a mis sa patte contre son nez et chut, en même temps leur montrant que plus loin , il venait quelqu’un en faisant signe pour qu’elles ne bougent pas, il est parti vers la personne en question et en arrivant à son coté, la personne lui a dit:

    -Olá, Roky, hecho que para usted aqui?

    Le chien lui a fait un aboiement gentil et la personne en question est entrée chez lui car il habitait dans la ruelle.

    -Mais que fait il, ma tante?

    -Oui, j’ai compris, a répondu Nougatine, il est allé là bas pour distraire l’homme, comme cela il nous a pas vu, c’est un chien intelligent, je ne  m’attendais pas à cela, un chien espagnol si intelligent!

     

     

     


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     PAGE 7

    Amande et Nougatine, ont continué leur route et quelques minutes après elles sont sorties de la ville en suivant la route que le chien espagnol leur avait indiqué.

    Toutes les deux se sentaient en pleine forme physique, avec beaucoup de kilomètres dans les pattes, elles ont pris de la résistance.

    Par moment en courant, par moment en marchant, elles avalaient les kilomètres sans problèmes.

    De temps en temps, une petite pause pour se reposer, principalement quand elles trouvaient un point d’eau.

    La nuit s’est passée sans aucun contre  temps mais quand la nuit a commencé à arriver à la fin, Nougatine et Amande sortaient du bosquet et Amade est partie en grande vitesse en aboyant en même temps.

    Nougatine l’appelait inquiète vu que ni l’une ni l’autre connaissaient l’ endroit ou elles se trouvaient  et si par hasard Amande puis même Nougatine pouvait perdre la notion de la direction à suivre, c‘était la catastrophe.

    Nougatine a commencé à chercher Amande et tout d’un coup que voit elle? 

    Amande, assise, avec le regard fixe vers le pré.

    -Mais que fais tu, Amande, tu peux laisser le chat tranquille? Tu ne vois pas que c’est dangereux en plus dans un Pays étranger, tu m’ écoutes, oui, mais tu m’écoutes?

    -Oui, je vous écoute, ma tante, mais le chat a disparu et je n’ai pas vu ou il est passé, ce que j’admire ,ce sont les grands chiens noirs qui sont là bas dans le pré, je ne savais pas qu’il existait des chiens géants et en plus avec des cornes,!…

    -Mais que me racontes tu? Ou tu vois les chiens géants?

    -Là bas, ma tante, là bas, vous ne les voyez pas, grands comme ils sont si vous ne les voyez pas, faites attention, vous avez besoin de lunettes.

    -Mais que me racontes tu? Ce que tu vois là bas ,ce ne sont pas des chiens ma fille ,ce sont de bœufs sauvages et attention n’attire pas leur attention, puisqu’ ils n’aiment pas les chiens, s’ils nous voient, ils chargent sans pitié.

    Viens, viens par ici, ce qu’il faut faire c’est rentrer dans le bosquet et faire une déviation, comme cela, nous serons plus tranquilles.

    -Bon, si vous le dites, ma tante, allons faire le tour.

     

    À cause des bœufs sauvages, Amande et Nougatine ont été obligé à faire quelques kilomètres de plus et du temps de route perdu.

     

    Entre temps et vu que le Soleil avait commencé à se montrer , il fallait s’arrêter.

    Elles ont trouvé un lac même à la sortie du bosquet et en trouvant un local pour dormir, se qu’elles ont fait mais avant ,elles  sont allées boire de l’eau du lac, mais Amande , il fallait qu’elle fasse son plongeon

     


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