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    Elles ont marché environ un kilomètre et ont commencé à écouter  le chant des eaux, qui entre les roches, coulaient pressées sur le lit d’une jolie petite rivière entourée de verdure, un local d’une grande beauté.

    -Comme c’est joli, a dit Amanda, je n’ai jamais vu une beauté pareille c’est normal, dans la ville il n’y a pas rivière qui passe.

    -C’est vrai, a répondu Nougatine, c’est vraiment beau! Bon, il faut nous dépêcher, il nous faut encore chercher quelque chose à mettre entre les dents et après il faut partir vers la frontière, nous allons passer à pied, puis- que j’ai vu du haut de la montagne, qu’il ya une rivière, mais comme je n’aime pas trop l’eau…

    Si tôt, si tôt fait, toutes les deux sont entrées dans l’eau pour un réconfortant bain matinal

    -Oh secours, oh secours… criait Amande en sortant en courant de l’eau.

    -Qu’ as tu, ma nièce, tu trembles de froid?

    Pas du tout ma tante, pas du tout. Je nageais et tout d’un coup j’ai vu un monstre qui a sauté devant mon nez, tante, j’ai peur!

    -Quel monstre?

    -Oui ma tante, là bas, regardes je le vois et il me regarde!

    Nougatine est venue sur le local indiqué par Amande regarde et a commencé à rigoler.

    -Pourquoi rigolez vous, ma tante, ce n’est pas drôle du tout.

    -Mais si, c’est drôle. Viens avec moi.

    -Ah… non ma tante, je ne vais pas!

    -Ne soit pas peureuse, je vais te montrer le monstre qui ne fait mal a personne.

    - regardez. Regardez, il est la.

    -Oui, je le vois, oui, mais ce n’est qu’un brochet qui nage paisiblement ma grande, tu as peur de tout et de rien

    -Bon, ça suffit, allons en nous d’ici et partons à la recherche du manger.

     

    Elles sont arrivées vers deux heures du matin à une ville qui touchait la frontière. Dans une ville frontalière, il y a toujours beaucoup de restaurants et cela a été facile de trouver à manger.

    Après avoir mangées, toutes les deux rasant les maisons, doucement pour éviter d’être vues, Nougatine a fait ses études pour trouver la stratégie pour que les deux puissent passer sans être vues.

    À ce moment là, tout était calme à la frontière et la police relâche un peu la garde ,de ce faite elles ont profité pour passer.

    Elles sont passées mais un agent de police a vu la manœuvre et a appelé un collègue.

    -Eh… António, regarde les chiens qui viennent  de passer, tente d’ éviter qu’ils continuent.

    Courre, courre, Amande et elles sont parties toutes les deux et António, le policier n’a vu que du feu.

    -C‘est bon , Amande, nous sommes sauvées.

     

     


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