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  • L’ ASSASSINAT DU SQUELETTE 

     

    23 heures et 16 minutes, pile.

    Je roulais avec ma voiture, bien sur pour me rendre chez moi, j'habite dans la ville de Paris, pas très loin de  Notre Dame, quand tout d'un coup, j'ai entendu des cris.

    -Oh secouuuuuuuuuuuur, oh secouuuuuuuuuuur !!!!!

    Notre Dame... je ne suis pas croyant, si je dis Notre Dame, c'est simplement parce que la demande de secours venait du coté de la Cathédrale.

    J'ai arrêté ma voiture, je suis sorti sans même fermer la porte et un cycliste sans lumière à son vélo, s'est encastré et m'a abimée ma porte, je veux dire, celle de la voiture, le cycliste, était la moindre des choses.

    J'ai couru dans la direction d' ou venait la demande de secours et oh Mon Dieu !!!

    ( une fois de plus, mais je ne suis pas croyant !...) et ce que je venais de voir, était horrible ,c’était une chose d' un autre Monde, mous n'allez pas me croire, mais c’était la vrai vérité !

    Ce que j'ai vu ? Oh Mon Dieu.. (Encore ?...) J'ai vu un squelette avec un couteau de boucher planté entre les côtes et dans les mains, si je peux ainsi appeler un bon paquet de tripes.

    Nous étions au mois de Décembre et le froid se faisait sentir, et le squelette faisait, clac clac clac de tous les côtés et quand il parlait, c’était pareil.

    -Alors, que vous est il arrivé ? Vous êtes dénudé, les tripes dans les mains, (en vérité, il ne pouvait pas les mettre à la place dû)

    -Ce ne sont pas les miennes a t' il dit en claquant les dents, ces tripes, ce sont celles d'un chat, les miennes il y a quelqu'un qui me les a volé et j'ai amené cela pour voir si quelqu'un pouvait faire quelque chose.

    -Entre temps les secouristes sont arrivés vu que je les avais appelé. Le premier secouriste  qui s'est approché, s'est enfui vite fait, il était plus pressé de s' en aller que donner des secours à la victime.

    Avec beaucoup de difficultés, les autres l'ont couvert avec une couverture  chaude et l'ont mis dans l'ambulance et l'ont emmené à l' hôpital.

    À l' hôpital, tout de suite il a était installé un comité d' enquête  de la police scientifique.

    -Alors, que vous est t' il arrivé ?  lui a demandé l'agent, savez vous qui c'est qui vous a planté le coteau dans la peau, excusez-moi, dans le squelette ?

    -Si je le connais, si je le connais et vous aussi, vous la connaissez.

    -Moi ? Je la connais ? Alors, c' est une femme ?

    -Oui, c'est une femme, la mienne, et championne du monde du lancer du couteau.

    Cela furent les dernières paroles du squelette.

    Clic...clac.....clic.........clac...........clic.............clac et s'est arrêté de respirer et est mort

     

     

     

     

             


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  •    L’imprévisible

     

    Comme je vous disais, le squelette est mort à l'hôpital ou il avait dénoncé la personne qui lui avait planté le couteau entre les côtes.

    Une fois transporté à la morgue,il a était prévu que le médecin légiste l’ autopsie le lendemain parce qu’ il était déjà trop tard et les spécialistes travaillent les corps vivants mais chez eux avec raison.

    Le cadavre, je veux dire, le squelette,  est parti vers le pôle nord de l'hôpital qui l'avait reçu encore vivant, mais en mauvais état. Deux brancardiers l'ont accompagné.

    -Eh... tu n'as pas senti bouger ?

    -Bouger, quoi ?

    -Lui, le squelette mort.

    -Mais tu es stupide, quoi ? Ou tu as déjà vu un squelette mort, bouger ?

    -Non, jamais, mais que je l’ai senti, c'est la vérité.

    Pour avoir la certitude que le squelette ne pouvait pas bouger, ils ont  soulevé la couverture  et en vérité, il se trouvait toujours dans la même position, toujours à montrer les dents comme s'il riait.

    -Tu vois ? il et bien paralysé avec le coteau de boucher entre les côtes.

    Et plus tranquilles,  ils ont continué le chemin pour la morgue.

    Une fois arrivés, ils ont déposé le corps du squelette sur une table en marbre, bien froid pour bien le conserver.

    Même dans le noir un groupe d'asticots si sont aventurés à aller le visiter, ils avaient faim, ils étaient des asticots pauvres, de ceux qui n’ont pas de domicile fixe.

    Tout doucement ils se sont approchés du squelette avec le chef en tête.

    -Bah... nous n'avons pas de chance.

    -Alors pourquoi, chef ?

    -Partons, il n'y a rien à se mettre entre les dents, je crois que celui-ci, est déjà passé par là et un autre groupe notre rival, a fait un festin.

    Neuf heures du matin. Les portes du bloc mortuaire se sont ouvertes et... stupéfaction ! Du squelette, ni même pas l'ombre, il avait disparu.

    -Cela doit être des amusements des étudiants, a dit le médecin légiste, si je les trouve, leurs oreilles vont rester rouges pour quelques temps.

    Tout le monde a cherché le squelette partout et rien.

    Le squelette, même avec un gros couteau entre les côtes , est revenu en vie pendant la nuit et comme la porte était ouverte, il a craché dans les mains, je veux dire sur les os de ses mains, a fait un bras d'honneur et s'est cassé de la morgue habillé avec une blouse blanche et personne a remarqué.

    La nuit était froide et il tremblait tant ,que cela semblait un groupe de joueurs de castagnettes, clac clac clac.

    Maintenant ma petite, tu as voulu te séparer  de moi et tu as offert un couteau à mon corps, il faut que tu puisses battre le record du monde des 10000 mètres pour arriver à te sauver, parce que tu vas connaître vraiment qui est le Peau ni Chair.

    Clac ´clac clac clac, en courant, pressé de trouver un abri pour pouvoir se cacher et attendre que la championne passe par là.

     

     

            


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  • Comment faire?

    Avec cette histoire de l'assassinat du squelette, j'ai l'impression que je suis entré dans une ruelle sans sortie.

    La criminelle est venue parler avec moi a trembler comme de canisses verts, ( canisses rouges, n’existent pas) pour que je fasse le possible de convaincre le squelette  à ne plus la poursuivre.

    Comment faire ? Je ne veux pas me fâcher ni avec le squelette, ni avec la criminelle mais, j'ai à vous dire, que je suis plus du coté du squelette, que de la part de la criminelle, il faut avoir du courage pour assassiner un squelette, il ne faut  pas avoir de la sensibilité humaine mais enfin, chacun tue ce qu'il peut, il y a ceux qui aiment tuer le travail, des autres qui aimeraient  tuer la mort, et il y en a beaucoup qui aimeraient aussi tuer la faim  tous les jours et ils n'arrivent qu’ à faire des menaces, la vie est comme cela faite, faite des choses bizarres.

    J'ai passé plusieurs jours à la recherche du squelette pour lui parler et quelle peine il m'a fait quand je l'ai trouvé, maigre, maigre, mais vraiment maigre, il n'était que de os et os.

    -Cher ami, vous êtes malade ? Je lui ai demandé. Vous avez la grippe A , ou une autre maladie quelconque ?

    J'ai commencé à lui parler comme ça, pour éviter qu'il  puisse s’énerver car s'il m’ avait donné une claque avec ces mains là, dures comme des os, vous  ne voulez pas savoir le mal que cela me ferait, je serais resté avec le visage dans un état tel que même le miroir aurait eu peur de me voir.

    -Non, je ne suis pas malade, tout simplement, je ne mange pas depuis huit jours.

    -Vous ne mangez pas depuis huit jours, et pourquoi ?

    -Parce que je ne quitte pas cette place ou je suis, avant de voir passer la bienveillante dame qui a voulu m'assassiner.

    -Savez vous pourquoi vous ne la voyez pas par ici ?

    -Non, je ne sais pas et ne vous demande même pas... si je la trouve !!!

    -Il ne vaut pas la peine d'attendre, cher ami le squelette, elle n'est plus ici, elle n'est  pas en France, elle est partie se réfugier au Portugal chez un couple d’ amis, comme vous voyez, vous pouvez partir, elle ne reviendra pas par ici, si vous voulez un conseil, partez, aller chercher quelque chose à manger, vous avez un très mauvais aspect, maigre, vous avez les yeux cernés, vous risquer de mourir de faim.

    -Vous avez, peut être raison, si elle n'est plus ici, cela ne sert à rien que je reste là.

    Le squelette est parti, clic, clac, clic clac, clic clac, marchant tout doucement vu son état de faiblesse.

    Moi, content d’ avoir osé et du bien que je venais de faire, je suis allé comme d'habitude au bar ou tous mes amis se trouvaient pour passer une grande partie de la nuit et boire quelques verres, je me divertissais avec eux et comme c'était samedi, je suis revenu chez moi autour des quatre heures du matin.

    Je me suis dirigé vers ma voiture et.... clacclacclacclaacclac.... C’ était le squelette qui courrait ver moi.

    La peur que j'ai eu ! J'ai eu une colique au ventre que je n'ai pas supporté  plus longtemps et le pauvre pantalon est resté dans un état lamentable, j'entendais clic, clac, et je ne savais pas si c'était le squelette ou si c´était qu’il tremblait.

    Le squelette s'est approché de moi et furieux il se préparait par me prendre par le col de ma chemise, mais il s'est arrêté et a commencé à rire, à montrer toutes les dents et s’est exclamé...

    -Eh mec... tu sens mauvais à tomber et a continué à rire.

    -Je suis venu te chercher, j'ai suivi ton conseil, je suis allé manger un peu et comme je ne mangeais pas depuis huit jours, ce que j'ai mangé m'a tombé mal dans l’ estomac et cela m'a donné une gastro que tu ne sais même pas et c'est pour cela que je suis venu te chercher pour me venger, j’exige que tu me donnes l'adresse de la criminelle mais vu ton état , pars, pars, rentre chez toi mais n'oublies pas, je reviendrais pour te parler.

    Moi, je n'ai même pas  regardé en arrière, même les pieds étaient en excès  de vitesse, je suis entré dans ma voiture j'ai démarré en trombe en espérant de plus voir ce monsieur. C'est toujours comme ça, quand je veux faire du bien à quelqu’un,,c’est toujours moi qui paye les pots cassés, enfin !


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  •  Le restaurant

     

    Mois de décembre.

    Monsieur le Maire, comme il faisait tous les ans, a invité les habitants de la petite ville pour la fête de Noël.

    Tôt, les invités ont commencé à arriver  qui se complimentaient dans le jardin en face au restaurant attendant l'arrivée de Monsieur le Maire.

    Conversation par ici, conversation par là, bisous à gauche et à droite tout en très bonne harmonie.

    Monsieur le Maire est arrivé et d'un geste large dirigé à tous les invités a serré les deux mains en signe qu'il complimentait tout le monde d'un seul geste.

    Tout le monde s'est dirigé au restaurant suivant Monsieur le Maire. Une fois dedans, chacun a pris sa  place.

    Monsieur le Maire a dit son discours de circonstance pendant que tout les invités prenaient son apéritif

    Une fois terminé le discours, tout le monde s'est levé et, verre en main...

    -À  la santé de ceux qui sont morts !!!!!! Hip,Hip, Hi...

    Clac, clac,clac,clac,clac,clac......... Clac.

    -Vous, vous profiter de mon problème, quoi ?

    Tous les invités sont restés tétanisés avec la présence du squelette.

    L’illustre épouse de Monsieur le Maire regardait stupéfaite la scène en parlant pour elle même, mais que grand Pays est la France, même les squelettes parlent, marchent dans les rues, ils vont au restaurant … vive la démocratie !

     

    Les verres ont été posé sur la table tremblaient de tel façon, qu’ on dirait que la Parkinson venait de passer et qu'elle avait contaminé tout le monde.

    -À la santé de ceux qui sont mort ! Vous trouvez ça drôle ? Vous trouvez que je suis plein de santé ? Vous avez bien vu mon visage ?

    -Mais... nous ne parlons pas de vous, à dit madame Fifi, toujours aimable. Pour faire voir que nous n'avons rien contre vous, venez vous assoir à mon côté, mon beau !

    -Encore ? Mon beau ? Mais vous trouvez cela drôle ? Moi je ne trouve pas du tout ça drôle !

    Le squelette a commencé à s’énerver et les os  firent clac de tous les côtés.

    Monsieur le Maire a commencé à voir le cas pas trop bien sage et comme un bon pédagogue et aussi un bon diplomate, a commencé à verser de l'eau sur le feu.

    -Bonjour, monsieur le squelette !

    -Âme, je m'appelle Âme.

    -Monsieur Âme, je suis le Maire de notre bourg, Général en Chef de l'Ordre des Templiers et des Ogres  et je vous invite à partager notre repas.

    -Mon Général, vous êtes trop aimable, mais moi, je ne peux pas manger, comme vous voyez, je n'ai pas d’ estomac et j'ai toujours avec moi un sac en plastique qui remplace l’ estomac et aujourd'hui je l'ai oublié.

    -Mais il n'y a pas de problème. Monsieur Patate, un sac en plastique pour notre ami Âme.

    -De combien de litres, a demandé monsieur Patate.

    -Combien de litres ? Mais nous allons boire ou manger ?

    -Les deux choses, mais les sacs sont ainsi nommés.

    Le patron est venu avec un sac rouge.

    -Oh là là.... un sac rouge ? Je ne peux les voir, vert, monsieur, vert, je suis du Saint Étienne, je ne suis pas de Lille  qui sont comme moi, ils sont plus morts que vifs, mais je ne peux pas les trahir.

    Le patron est venu avec un sac vert.

    -Merci. Mon Général, pouvez vous s'il vous plait, me donner votre adresse E-mail pour que je puisse vous contacter ?

    -Mais bien sûr que oui, sans problème.

    Le squelette a pris un agenda et un stylo qu'il avait pendu à une fausse côte, il n'avait pas besoin de l’attacher et a tout noté.

    -Mon Général, vous êtes un homme bon, vous méritez tout, moi, je n'ai pas eu de chance, j'ai tout donné, mais même tout et un jour, j'ai trouvé une femme dans la rue, déconsidéré et moi pour la consoler je lui ai donné a peine un petit bout, je n'ai rien fait de mal. Mon épouse a appris et elle m'a tué, moi, qui depuis toujours lui ai tout donné et seulement à cause d’un petit bout comme ça, elle m'a poignardé et en se retournant vers elle qui était aussi invité et a crié égoïste !!!! Après, dans un acte de repentance.

    -Je m'excuse, mon amour, je sais que j'ai exagéré, pardonne-moi et ils sont tombés dans les bras l’ un de l'autre et lui, a commencé  à pleurer, elle criée, ai,ai,ai,ai, Elle avais les doigts conicés entre les côtes de son époux. Il y avait tant de larmes qui glissaient entre les côtes qu’ on dirait un toit sans gouttières.

    -Dans la salle on pouvait écouter renifler les présents, l'émotion arrivée au comble.

    -Après, j'ai ressuscité parce que l'amour est plus fort et je suis revenu  chez nous mais elle avec la peur que je puisse donner un petit bout  à quelqu’un d'autre , elle m'a enchainé les mains et les pieds.

    -Bon, oubliez tout cela  et regardez, ici même., une place.

    Le squelette s'est assis, il a pris le couteau et l'a mis à côté de sa main, mais personne disait un mot, on pouvait écouter uniquement les fourchettes et les couteaux et le squelette à chaque fois qu'il avalait, on entendait dans le fond du sac... Bounb et le claquer des os à chaque mouvement qu'il faisait.

    Il y avait ensuite une visite au musée mais  le squelette n'a voulu y aller  en disant qu'il courrait le risque de le garder pour le montrer aux touristes.

    Quant au reste, tout s'est déroulé normalement , des discours, de la poésie, des applaudissements et quand le squelette applaudissait, on dirait un bataillon tel était le clac clac.

    Le squelette est parti plus tôt, il se sentait fatigué.

    Une heure après, son épouse est arrivée chez elle ou le squelette l’attendait avec impatience.

    -Eh, dis donc… je suis venu à pieds et je suis arrivé chez nous dix minutes après mon départ du restaurant et toi, en voiture, tu as pris une heure pour arriver. Puis-je savoir ce que tu as fait entre temps?

    -Tu ne me dis pas qui tu es jaloux!

    -Oui, je suis jaloux parce que malgré tout, je continue à t’aimer, mais là ce n’est pas la question, c’est que j’étais inquiet pour toi, il pouvait t’arriver un accident, par exemple.

    Sa femme n’a pas trop apprécié les remarques même gentilles de son époux et une discussion moins agréable a eu lieu.

    -Le squelette s’énerva, a mis son par-dessus et a claqué la porte en affirmant qu’elle ne le verrait jamais.

     

     

     

     


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  • Le squelette a trouvé du travail


    Vu qu'il avait quitté sa maison, il fallait trouver du travail   pour  pouvoir vivre et il l'a trouvé dans une agence nationale des sondages.


    Samedi.

    Comme tous les samedis, les jeunes aiment aller en discothèque, et l'amour remplit la nuit.

    Deux heures du matin en plein Bois de Bologne.

    Clic clac, clic clac, clic clac...

    -Cher ami, attendez-moi !

    La personne en question en voyant un squelette qui se promenait, a commencé à trembler et a mis les mains en l'air.

    -Ne tremblez pas, vous n'avez pas besoin de mettre les mains en l'air, je ne suis pas de la police, c'est pour un sondage.

    -Mon Dieu, mais… mais c'est quoi ça ? J'avais dit à mes copains que j’avais trop bu, mais ils ne me croyaient pas, la preuve est là, j'ai des hallucinations, un squelette qui fait des sondages !... que la Sainte Vierge m'aide, je ne suis pas croyant mais Vierge, viens à mon secours, je t'en prie , criait le jeune homme.

    -Quelle Vierge, quel quoi !!! Vous avez déjà vu des vierges se promener à cette heure là, en plein Bois de Bologne ? Vous pensez que je suis stupide, ou quoi ?

    -Mais..

    -Il n'y a pas de mais ! Dites, vous êtes intelligent ? C'est pour le sondage.

    -Oui, je le suis-

    Bon. Alors, deux plus deux, cela fait combien ?

    -Mais pour répondre à cela, il n'y a pas besoin d'être intelligent.

    Clic clac, clic clac, le squelette a commencé à s'énerver. Si moi, je vous pose la question, répondez-moi.

    -Combien font, deux plus deux ?

    -Quatre, a répondu le jeune homme.

    -Avez vous, la certitude ?

    -Oui, j'ai la certitude !

    -Quelles sont vos études ?

    -Économie.

    -Alors vous êtes instruit mais pas  intelligent mais vous avez raison, la différence est que les temps ont changé mais les intelligences sont toujours les mêmes, regardez, avant, au temps de Salazar qui était un professeur d'économie, remarquable, il disait  que deux plus deux faisaient quatre pour payer, mais pour toucher, cela faisait vingt deux, cela était de l'intelligence !

    Avec la peur, le jeune homme donnait toujours raison au squelette.

    Mais il y a une chose que je ne comprends pas. Comme cela se fait il , étant un squelette, vous faites des sondages ?

    -C'est simple cher ami, je suis un squelette de l’intelligence  qui est morte depuis longtemps et je suis intéressé à savoir comment se trouve la santé de  la nouvelle intelligence, l'intelligence des temps modernes, et comme je suis très envieux, je ne veux pas que l'intelligence d'aujourd'hui soit supérieure à celle de mon temps de jeunesse.

    -Ayez une bonne nuit, jeune homme !

    -Merci, monsieur le squelette, pour vous aussi !

    Et le jeune homme, en marchant, se demandait ce qu'il venait de vivre, était réel ou si s’était l'effet de l'alcool et répétez... deux plus deux égal à vingt deux,  trois plus trois, égal à trente trois, quatre plus quatre, égal à quarante quatre.....

     

    Au loin, sur les pavés de la route, on pouvait écouter, clic clac, clic clac, clic clac....

    -Cher ami, attendez, c'est pour un sondage.....

     

     FIN


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  • JEANNE D'ARC ET VIOLON

     Nous étions au Printemps. Il faisait une très belle journée et le Roi Soleil chauffait la terre et les cœurs des habitants de notre très belle planète, la Terre.

    Dans les forêts, les animaux s'amusaient, les plus jeunes, bien sûr, cependant, les grands réunis en petits groupes discutaient un peu de la vie, du futur de leurs enfants, la manière de les protéger, de l'éducation la plus appropriée pour qu'ils deviennent des animaux respectables dans la forêt.

    -Vous savez, disait le vieux cerf, moi et mon épouse, nous avons donné à nos enfants une éducation la plus forte possible, et comme cela a été dur dans ces années là !... mais nous pensons avoir réussis, la preuve, vous les connaissez et vous savez aussi qu'ils n’ ont jamais manqué de respect à qui que ce soit et je vois mes petits fils suivre l'éducation que leurs parents leur donnent et ils se portent très bien, d'ailleurs, je vois que tous les enfants, vos enfants, mes amis, que la plupart de ce groupe ont le même âge que moi, ils ont eu aussi une éducation pareille.

    -C'est vrai, ont répondu ses amis cerfs, regardez comme nos petits enfants sont heureux, il s'amusent, sans responsabilités dans la vie, le temps viendra que eux comme nous, ils auront de quoi s'occuper pour vivre, pour éviter ces chasseurs méchants qui nous poursuivent partout, par le plaisir de tuer.

    Les petits oiseaux volaient d'une direction à une autre, dans leurs pioupious d’allégresse.

    Les hirondelles en vol piqué, frottaient leur poitrine sur l'eau du lac pour apporter de l'eau pour fabriquer leurs nids.

    Tout d'un coup, une mélodie Céleste s'est fait écouter dans toute la prairie.

    Tous les animaux ont levé la tête pour tenter de découvrir d'ou venait une si belle mélodie.

    Le silence régnait dans la forêt, dans la prairie les lapins et les lièvres assis sur leurs pattes arrières, les oreilles bien soulevées, pas un poil qui bougeait, tous les animaux étaient comme hypnotisés par une si belle mélodie.

    Au bord de la forêt, assise sur une grosse pierre, une jolie demoiselle jouait du violon.

    La mélodie Céleste, venait, alors de là.

    Une grenouille est venue en sautillant s'assoir devant la jolie demoiselle et écoutait extasié les notes si belles qui sortaient du violon.

    La demoiselle concentrée dans la musique, et vu aussi la taille de la grenouille, ne s'est pas rendue compte de sa présence.

    En s’arrêtant pour se reposer un peu, elle a vu la grenouille devant elle.

    -Ah... un crapaud ! Oh secours, mais quel animal si vilain, non... non... va t'en, va t'en !

    -Ma jolie petite demoiselle, je ne suis pas un crapaud, je suis une grenouille.

    -Ah et en plus tu parles ?

    -Crochas, crochas, oui, je parle, mais ma jolie, un crapaud est un être vivant et comme tous les êtres vivants et pas seulement, doivent être respectés, qu'ils soient jolis ou vilains.

    La demoiselle a rougi pour avoir eu une petite leçon de morale d'une grenouille.

    -Je m'excuse, je m'excuse, balbutiait elle en tremblant.

    -Ne t'inquiètes pas, ce n'est pas grave, tu es encore jeune, et avec le temps tu changeras, je vois en toi quelqu'un de bien, avec beaucoup de talent, tu es très jolie et tu réussiras dans la vie.

    -Mais que sais tu de la vie des humains, tu n'es qu’ une grenouille ?

    -Et es tu sûr, que je suis une grenouille ?

    -Cela se voit, non ?



    Tout d'un coup, une grande masse lumineuse formée de très belles couleurs, est apparue devant la demoiselle et de cette si belle lumière est sortie une demoiselle d'une rare beauté. Une couronne en diamants posée sur sa tête, une robe longue dorée et bleue avec des rubis de toutes les couleurs.

    La demoiselle n’en croyait pas ses yeux, mais comment est ce possible qu’une grenouille se transforme comme cela.

    -Tu vois, ma jolie, je sais ce que tu penses, je ne suis pas non plus une grenouille cela fait parti de mes déguisements pour pouvoir approcher des gens et de savoir si ils sont de gens biens ou pas et après je peux faire des choses pour les aider.

    -Parfois les guider et les faire changer leur façon d'être, oh combien sont des mauvais gens et avec mes conseils viennent des gens biens, d'autres qui sont bien mais qui pensent comme toi.

    -Mais je ne suis pas méchante, madame !

    -Je sais, je sais, que tu n'es pas méchante, mais parfois tu penses mal par faute de connaissance et, tu vois, aujourd'hui tu as appris des choses.

    -Mais vous êtes qui ?

    -Moi, je suis une Fée.

    -Une Fée ? Mais je pensais que les Fées existaient seulement dans les fables ?

    -Comme tu vois, je suis là et je ne suis pas une fable. Et toi, comment tu t'appelles ?

    -Moi, je m'appelle Jeanne.

    -Jeanne, comment ?

    -Jeanne D'Arc et Violon.

    -Ah ah ah, riait la Fée.

    -Pourquoi vous riez ? Madame la Fée, vous vous moquez de moi ?

    -Non, non, pas du tout, c’est que ton nom va avec ce que tu fais, tu fais du violon, c'est pour cela et toi, tu es très douée je t'ai écouté et que de belles mélodies tu as si bien jouées, un vrai régal !!! Tu aimes jouer du violon ? Tu veux être professionnelle ou c'est seulement pour ton loisir ?

    -Ah... comme j'aimerais un jour devenir professionnelle !

    -Bien, si tu es sage, je peux faire ce qu'il faut pour toi.

    -Ah... comment ?Je vous serais reconnaissante !

    -Tu es sûre que tu veux devenir une vraie violoniste et en plus professionnelle ?

    -Oui, oui, madame la Fée !

    -Bon alors, range ton violon et je t’emène ou il faut.

    Jean a rangé le violon, pressé de partir.

    -Voila, je suis prête.



    A ce moment, une nébuleuse d'une couleur rare s'est formée enveloppant la Fée et Jeanne et s'est envolée dans les aires

    Quelques heures après....

    Troooooooommmm, troooooooooommm !



    Jeanne ouvre ses yeux dû au son des tambours, Elle ne voulait pas croire de se voir entre tant de musiciens et un Maestro qui dirigeait l’ Orchestre Symphonique.

    -Ce n'est pas possible disait elle à petite voix, ce n'est pas possible !!!

    Tac Tac Tac... Le Maestro appelle l'attention des musiciens, le concert allait commencer.

    Le Maestro lève sa baguette et d'un geste à droite et à gauche et les musiciens ont commencé à jouer.

    Jeanne est restée perplexe et ne savait quoi faire. Le Maestro a vu qu'elle n'avait pas commencé à jouer et a fait un signe discret vers un violoniste qui était assis à coté de Jeanne et celui-ci l'a appelé doucement pour qu'elle se réveille de son rêve.

    Jeanne, un petit peu mal à l’aise dû au petit problème mais rapidement a repris son arc et a commencé à jouer du violon comme si elle avait fait cela toute sa vie. Les notes sortaient du violon comme par magie, le Maestro la regardait admiratif.

    Une fois le concert terminé, le Maestro a demandé des applaudissements du public et le public debout, applaudissait très fort la nouvelle jeune prodige du violon.

    Jeanne quitte la salle sans savoir ou aller. La Fée n'était plus présente, que faire ? Deux larmes de tristesse ont roulé sur son visage, elle qui quelques minutes avant était si heureuse et maintenant elle se trouvait perdue.

    Elle fait quelques pas et elle voit ses parents qui l'attendaient à la sortie.

    -Maman, papa.... oh que je suis heureuse !

    -Mais c'est normal, après ce que tu viens de réussir,c’est normal que tu sois heureuse !

    -Non Maman, non, Papa, ce que je viens de faire n'a rien de comparable avec votre présence, vous me manquez plus que la musique, de la musique, je peux m'en passer, mais pas de vous, oh que je suis heureuse ! Mais comme ce fait il que vous soyez là ?

    -Nous ne savons pas, nous ne savons pas, c'est comme de la magie !

    Jeanne a ri d’un beau rire et tous les trois sont partis très heureux

     

     

     


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    Quand les déssins animés n'avaient pas de violenca


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  • AccueilMonsieur De La Vigne était un homme hautement instruit et qui appartenait à une famille bourgeoise de la Ville ou il était né.

    Connu pour être une personne d'une grande sensibilité humaine, il était respecté par tous les villageois ainsi que par tout le département

    Formé en droit, il était un grand défenseur des droits de l'homme et aussi pour tout ce qui était la vie, soit animal ou végétal.

    Considéré comme un homme bon, affable il était estimé et parfois demandé pour conseiller sur certains problèmes qui pouvaient arriver à n'importe qui

    Selon lui, il était un excellent chasseur. Dès l' ouverture de la saison de chasse, tous les jours il allait chasser et entre amis, il se ventait de ses résultats

    -Aujourd'hui ,j'ai tué tant de lapins, le lendemain s’était des perdrix, les sanglier alors, il avait perdu le compte, les biches, il fallait qu'il s'arrête sinon il aurait terminé avec la race. Incroyable la réussite comme chasseur, mais ce qui était étonnant, est que personne a vu les animaux que, selon lui, il avait tué.

     

    Un jour, la mort lui prit son épouse. Il est tombé dans le désespoir et pour tenter d'oublier tout son malheur, de temps en temps, il allait en Afrique pour la chasse aux animaux dits sauvages.

    À son retour, pareil, il ne s' arrêtait pas de se vanter, des lions, des hyènes, des guépards, des boas, il avait selon lui, tué un nombre incalculable d'animaux.

     

    Les villageois ont commencé à avoir un peu de dégout de toutes ces vantardises.

    Le directeur de l’ école, un jour, lui a demandé de venir pour faire un cours de l'art de chasser.

    Monsieur DE LA VIGNE, fier de lui, a accepté.

    -Bonjour Monsieur DE LA VIGNE, soyez le bienvenu, les élèves sont impatients de vous entendre parler de  vos exploits de chasseur.

    -C'est avec un énorme plaisir que je leur expliquerais mes succès comme chasseur.

    Le directeur l’ a regardé avec un air de quelqu'un qui se sentait mal à l’aise.

    Le directeur et Monsieur DE LA VIGNE, sont entrés dans la salle de cours-

    Tous les élèves se sont levés pour recevoir poliment cet important personnage de leur ville.

    Le directeur a demandé ensuite à Monsieur DE LA VIGNE qu’il commence à raconter tous les exploits de chasseur.

    -Avec grand plaisir, Monsieur le directeur.

    -Chers petits,

    Un doigt se lève au fond de la salle.

    -Antoine, laisse Monsieur parler!

    -Il n'y a pas d'importance, que veux tu me dire, mon petit?

    . C'est  monsieur, que tous les chasseurs ont des chiens et vous n'en avez pas.

    -Le chien, tu sais, quand un chasseur chasse comme moi, il n' a pas besoin d'avoir un chien, ce qu'il faut c'est savoir chasser à ma manière.

    Et alors, Monsieur DE LA VIGNE commence à raconter ses exploits les plus fous les uns que les autres.

    Les enfants étaient  bouche bée et enchantés de savoir comme Monsieur DE LA VIGNE faisait front aux animaux sauvages.

    Le Directeur écoutait mais tout cela ne lui plaisait pas.

    Quand l’ émérite chasseur eut terminer de raconter ses exploits, le Directeur lui dit:

    -Monsieur DE LA VIGNE. Si je vous ai demandé de venir ici pour expliquer aux enfants les secrets de la chasse, c'est tout simplement que moi, dans mes cours, je demande aux enfants pour respecter la vie, soit elle animal, végétal ou autre et tout ce que vous venez de dire, ne me plait pas du tout.

    Vous êtes quelqu'un de très estimé dans notre ville et moi je n'ai jamais aimé vos exploits que je considère mauvais.  Ce que vous venez de nous raconter ne vous honore en rien et vous, les enfants, je vous conseille à ne jamais faire ce que ce Monsieur vient de se vanter.

    Monsieur DE LA VIGNE, a regardé le Directeur et lui dit, attendez, s'il vous plait, je vais encore parler avec les enfants.

    -Mes petits, votre Directeur a raison, il ne faut jamais faire tout ce que je viens de vous dire. Moi même, je n'ai jamais tué quoi que ce soit et c'est pour cela que je n'avais pas de chien. J’ avais un fusil mais pas de cartouches et quand vous me voyez partir, je n'allais pas à la chasse.

    Ma vie était toujours une vie de personne qui n'a pas besoin de travailler. Le temps passait et moi j'avais une vie de paresse, une vie sédentaire ce qui est très mauvais pour la santé, alors, tous le jours je prenais mon fusil et j'allais me promener dans les champs, marcher, respirer l'air pur, et c'est vrai que j'ai vu beaucoup d’ animaux et moi j'épaulais mon fusil, je les visais et je faisais POMMMMM. Et je m' amusais. Je n'ai jamais tué même pas une mouche.

    En Afrique, c'est vrai, je suis allé de temps en temps, j'accompagnais les vrais chasseurs , mais dans les voitures tout terrain , je ne chassais pas.

    -Et voilà, maintenant je vais être mal vu dans la ville, parce que je mentais sur mes exploits ahahah ,mais mes petits, votre directeur a raison, respectez les personnes, respectez la vie.

     

    Le Directeur l’ a remercié et une forte accolade a eu lieu entre les deux hommes de bien.

     

    FIN

     


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    AccueilLe Printemps vient de commencer et l’amour se promène de rue en rue, de jardin en jardin, les oiseaux chantent heureux , la terre devient verdoyante, les fleurs de toutes les couleurs et les parfums remontent le moral aux habitants de cette belle planète qui est la Terre.

     

    Le Soleil brille et l’Amour a décidé d’aller faire une petite promenade allègrement dans la ville.

    En route, il s’est croisé avec la Haine.

    Pour les plus petits, je tiens à vous dire que l’Amour vous le connaissez, vous avez l’amour de vos mamans, de vos papas, de toute la famille et aussi des amis.

    L’amour c’est comme l’eau, sans eau, il n’y a pas de vie, sans amour, la vie est très triste, c’ est comme si elle n’existait pas

    La Haine, c’est un mauvais  sentiment.  C’est le mépris pour les autres êtres,  c’est ne pas savoir aimer, je veux dire, c’est le contraire de l’amour, pour cela, je vous demande d’ aimer, aimer toujours, et de ne jamais haïr qui que ce soit.

     

    -Bonjour madame la Haine, comment ça va aujourd’hui? 

    -Bonjour monsieur l’Amour. Aujourd’hui ça va mal, très mal, oui, très mal!

    -Et pourquoi? Quelqu’un de votre famille est mort? Est-ce que vous avez une famille?

    Haine a regardé l’amour avec un air de mépris et renfrogné comme d’habitude,  a répondu:

    -Bien sûr que j’ai une famille, j’ai mes frères éparpillés dans le monde entier et personne de ma famille est mort!

    L’Amour a fixé la Haine dans les yeux.

    -Alors pourquoi vous êtes si renfrogné?

    - Parce que, parce que… aujourd’hui je n’ai pas encore trouvé qui que ce soit pour haïr, tout simplement et c’est presque midi, cela n’est pas normal, je ne sais pas pourquoi, mais il y a quelque chose qui me dit que vous, l’Amour, vous êtes pour quelque chose avec votre manie d’aimer tout le monde.

    L’Amour a eu des éclats de rire dû à la réflexion de la Haine.

    -Mais bien sûr, que je ferais toujours le possible, non pour vous faire souffrir vu que je n’aime pas voir la souffrance, mais faire le possible pour que ce soit moi le vainqueur , je croie même, qu’un jour vous faire convertir.

     

    Madame la Haine n’a pas aimé du tout ce que vous venez de dire Monsieur l’Amour.

    -Vous avez déjà vu, moi la Haine, aimer quelqu’un? C’est ce qui manquait… Ce serait comme si je serais mort.

    -Mais je n’ai pas l’intention de vous tuer, madame, je sais, ça oui, que je continuerais à me battre pour que vous la Haine, laisse l’amour prendre votre place partout dans le Monde ou tous les habitants rêvent de vivre avec la paix, l’amour et la fraternité.

     

    Cette fois là, c’est la Haine qui a ri aux éclats.

    -Mais l’Amour, cela peut arriver seulement dans vos rêves, dans le réel, cela ne peut pas arriver. Seulement avec l’amour ,il n’y aura pas de haine et seulement avec la haine il n’y aura pas d’amour. Comme vous voyez, nous avons besoin l’ un de l’autre pour équilibrer le système de la vie. 

    Parfois, je rêve que je suis l’amour. Et je me réveille en criant. Non… non…. Je veux être la haine… je veux être la haine, j’ouvre mes yeux et je vérifie que je n’ai pas changé, alors je continue heureuse!

    -Moi, jamais j’ai rêvé d’être la haine. Je rêve, bien sûr, mais je rêve que je serais l’amour pour toujours, que le Monde est un Monde d’amour, je vois l’amour tomber des nues comme des gouttes d’eau pure qui nous rafraichie et je me réveille heureux sachant que cela n’était qu’un rêve, mais un rêve d’amour.

    -Bon, Monsieur l’Amour, je vois qu’ avec vous je n’apprends rien et avant que je commence à vous haïr… au revoir… à un de ces jours!…

    -À jamais madame la Haine!…

    Et chacun est parti de son coté.

     

    Haïssez jamais qui que ce soit, les enfants, aimez sans cesse, nous sommes plus heureux avec l’amour, qu’ avec la haine.

     

     

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    Accueil

    Le jour était beau, le Soleil plus radieux que jamais, et le petit Matéo du haut de ses 10 ans, a décidé de faire une balade dans les champs qui entouraient la maison de ses parents.

    Et il est parti, pas très loin, puisque ses parents n’aimaient pas qu’il s’éloigne de la maison.

    Il faisait chaud, Matéo transpirait et a décidé de se reposer à l’ombre d’un très beau chêne qui poussait allègrement au bord d’une rivière, sans qu’il n’aille pas mouillé son visage avec l’eau pure qui courrait dans son lit naturel.

    Il s’est assis et regardait les animaux qui se croyaient seuls, ils se promenaient tranquillement sur l’herbe, mangeaient un peu d’ ici, un peu de là.

    Tout d’un coup, Matéo a vu une espèce d’avion avec des formes bizarres, avec des lumières de les plus belles couleurs, se poser en plein pré.

    Deux portes se sont ouvertes et des êtres pas comme nous, au nombre de quatre, sont descendus sans avoir besoin d’une échelle.

    Matéo est resté paralysé, non de peur, Matéo jamais il a eu peur de quoi que ce soit, mais paralysé par le pouvoir des inespérés visiteurs.

    Ils se sont approchés. Ils n’avaient pas non plus l’air d’être des êtres méchants.

    -Écoute, espèce d’être, tu es qui et qui? Nous sommes déjà venus ici à plusieurs reprises et nous n’avons jamais vu une espèce pareille, qui marche sur les deux pattes. Nous avons vu, c’est vrai, ceux qui marchaient sur quatre pattes ,mais sur les deux comme nous, jamais.

    Matéo n’arrivait pas ,ne pouvait dire quoi que ce soit, il ne pouvait pas dire un mot.

    -Matéo, Matéo!!!!!!!!!!

    Une petite et jolie fille, qui n’avait pas plus de trois ans, est arrivée brusquement dans le pré.

    -Matéo, Matéo!!!! Ou tu est? Viens, papa te demande.

    Les quatre étranges personnages se sont retournés et ont vu la petite fille qui venait d’arriver.

    Un des personnages a levé la main et la petite est restée paralysée dans la position qu’elle se trouvait.

    Un autre, a pris Matéo par le bras et avec la petite qui n´était que Justine, la sœur à Matéo ils les ont emmené tout les deux dans l’engin spatial.

    Portes fermées et l’engin spatial a pris son vol en grand vitesse vers l’inconnu.

    Quelques heures à peine et il s’est posé dans un endroit ou se trouvaient déjà des centaines d’autres de plusieurs modèles.

    Les éléments de l’équipage sont sortis et ont emmené avec eux Matéo et Justine qui n’arrivaient toujours pas à dire quoi que ce soit.

    Une étrange voiture à deux roues les attendaient et aussitôt il ont été emmené dans un édifice de grande beauté, entouré d’arbres, de plantes et fleurs, d’une exceptionnelle beauté, du jamais vu.

    Une fois dedans, ils sont montés au quinzième étage mais il n’y avait pas d’ ascenseur, c’est comme s’ ils étaient attirés par une puissance invisible.

    Dans un salon orné avec des statues dorées, des peintures de rare beauté, le parterre fait d’une matière noire très brillante, ont laissé Justine et Matéo enchantés.

    Les gardiens étaient présents, mais ils n’avaient pas d’armes. Tous les êtres si étranges, avaient la tête triangulaire, et à chaque sommet du triangle, un oeil, comme ça ils voient tout au tour, les mains n’avaient que trois doigts et les pieds palmipèdes. Les bras étaient longs mais leur stature était petite, Matéo a pensé que s’ils avaient les bras si longs, cela était pour compenser leur taille pour pouvoir attraper des choses qui seraient en hauteur.

    Il n’y avait pas non plus de lustres, lampadaires ou tout autre forme d’illumination, non, la lumière venait des murs qui irradiaient une lumière multicolore douce, en dégradée, très jolie et qui faisait une ambiance très calme.

    Un personnage , avec une cape rouge et verte et doré, est venu s’assoir dans un trône travaillé d’une grande beauté.

    Il a regardé Matéo et Justine et a commencé à poser des questions dans un langage que ni un ni l’autre connaissaient.

    Ce devait être quelqu’un d’une grande instruction vu qu’il a posé des questions et à chaque fois il a changé de langage et à un moment donné il a commencé à parler français.

    -Alors, vous vous appelez comment, a t-il demandé avec une voix douce, vous vous appelez?

    - Je suis Mateo et ma sœur Justine.

    -Comment s’appelle t’il, l’endroit d’où vous venez?

    -Nous sommes d’un pays qui s’appelle France.

    - France, ahahaha quel drôle de nom, ahahah

    - Et ici, vous savez ou vous êtes?

    -Non Altesse, ont répondu Justine et Matéo d’une seule voix.

    - Non! Pas Altesse, mais monsieur, comme vous dites dans votre planète. Ici , nous avons tous nos responsabilités, mais nous sommes tous égaux,

    - C’est naturel, que vous ne le savez pas, c’est la première fois que vous venez ici. Vous êtes dans un planète qui s’appelle Astrolide.

    -C’est joli, á répondu Matéo.

    -Je vais vous poser une question, mais je sais déjà quelle est votre réponse. Voulez vous rester avec nous, ou retourner sur le planète Terre?

    -Nous aimerions bien retourner chez nous, nos parents commencent à s’inquiéter.

    -Je suis d’accord avec vous. Si on vous a amené ici, c’est pour mieux connaitre les habitants de votre planète, j’espère que vous tous soient si gentils que vous, un jour nous reviendrons.

    Entre temps, en compagnie d’un de nous, vous allez faire un tour pour visiter et voir comme il est, Astrolide.

    Un des astrelidosiens a fait compagnie à Matéo et à Justine n’ en croyant pas leurs yeux de ce qu’ils voyaient.

    La flore, d’une beauté paradisiaque, les animaux avaient cinq pattes, deux arrière et trois devant pour la simple raison, qu’ils étaient toujours bien appuyés pour faire leurs travaux et comme cela ils se fatiguaient moins.

    Les habitants avaient toujours un sourire de joie dans leurs visages,

    Les écoles toutes bien équipées, les professeurs étaient comme des copains et tous se respectaient entre eux.

    L’air pur et parfumé, et il n’avait rien d’artificiel, tout était naturel.

    Mateo et Justine, avaient envie de rester, mais ils ont pensé à leurs parents et ont décidé de revenir sur la Terre.

    Une fois leur décision prise, un des engins les ont ramené et pas beaucoup d’heures après, ils étaient arrivés.

    Une fois arrivés, ils ont courus vers leur maison et en chemin ils ont trouvé leurs petits copains.

    -Eh, les copains, venez, venez tous nous écouter. Nous avons eu aventure, mais je sais que vous n’allez pas nous croire.

    - Raconte, on verra!

    Et Matéo et Justine ont commencé à raconter leur belle aventure, mais personne les a cru.

    -Oh les menteurs, ho les menteurs, ho les menteurs et ils sont tous partis en courant et en riant.

    -Matéeeeo, Matéeeeo, viens là mon chéri, c’est l’heure de te lever pour aller à l´école.

    Matéo ouvre ses yeux, regarde son père, a jeté un coup d’œil autour de la chambre, et avec les larmes aux yeux il venait de vérifier que tout n’était qu’un joli rêve

     

     

     

    FIN

     

     

     


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