• L’ ASSASSINAT DU SQUELETTE 

     

    23 heures et 16 minutes, pile.

    Je roulais avec ma voiture, bien sur pour me rendre chez moi, j'habite dans la ville de Paris, pas très loin de  Notre Dame, quand tout d'un coup, j'ai entendu des cris.

    -Oh secouuuuuuuuuuuur, oh secouuuuuuuuuuur !!!!!

    Notre Dame... je ne suis pas croyant, si je dis Notre Dame, c'est simplement parce que la demande de secours venait du coté de la Cathédrale.

    J'ai arrêté ma voiture, je suis sorti sans même fermer la porte et un cycliste sans lumière à son vélo, s'est encastré et m'a abimée ma porte, je veux dire, celle de la voiture, le cycliste, était la moindre des choses.

    J'ai couru dans la direction d' ou venait la demande de secours et oh Mon Dieu !!!

    ( une fois de plus, mais je ne suis pas croyant !...) et ce que je venais de voir, était horrible ,c’était une chose d' un autre Monde, mous n'allez pas me croire, mais c’était la vrai vérité !

    Ce que j'ai vu ? Oh Mon Dieu.. (Encore ?...) J'ai vu un squelette avec un couteau de boucher planté entre les côtes et dans les mains, si je peux ainsi appeler un bon paquet de tripes.

    Nous étions au mois de Décembre et le froid se faisait sentir, et le squelette faisait, clac clac clac de tous les côtés et quand il parlait, c’était pareil.

    -Alors, que vous est il arrivé ? Vous êtes dénudé, les tripes dans les mains, (en vérité, il ne pouvait pas les mettre à la place dû)

    -Ce ne sont pas les miennes a t' il dit en claquant les dents, ces tripes, ce sont celles d'un chat, les miennes il y a quelqu'un qui me les a volé et j'ai amené cela pour voir si quelqu'un pouvait faire quelque chose.

    -Entre temps les secouristes sont arrivés vu que je les avais appelé. Le premier secouriste  qui s'est approché, s'est enfui vite fait, il était plus pressé de s' en aller que donner des secours à la victime.

    Avec beaucoup de difficultés, les autres l'ont couvert avec une couverture  chaude et l'ont mis dans l'ambulance et l'ont emmené à l' hôpital.

    À l' hôpital, tout de suite il a était installé un comité d' enquête  de la police scientifique.

    -Alors, que vous est t' il arrivé ?  lui a demandé l'agent, savez vous qui c'est qui vous a planté le coteau dans la peau, excusez-moi, dans le squelette ?

    -Si je le connais, si je le connais et vous aussi, vous la connaissez.

    -Moi ? Je la connais ? Alors, c' est une femme ?

    -Oui, c'est une femme, la mienne, et championne du monde du lancer du couteau.

    Cela furent les dernières paroles du squelette.

    Clic...clac.....clic.........clac...........clic.............clac et s'est arrêté de respirer et est mort

     

     

     

     

             


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  •    L’imprévisible

     

    Comme je vous disais, le squelette est mort à l'hôpital ou il avait dénoncé la personne qui lui avait planté le couteau entre les côtes.

    Une fois transporté à la morgue,il a était prévu que le médecin légiste l’ autopsie le lendemain parce qu’ il était déjà trop tard et les spécialistes travaillent les corps vivants mais chez eux avec raison.

    Le cadavre, je veux dire, le squelette,  est parti vers le pôle nord de l'hôpital qui l'avait reçu encore vivant, mais en mauvais état. Deux brancardiers l'ont accompagné.

    -Eh... tu n'as pas senti bouger ?

    -Bouger, quoi ?

    -Lui, le squelette mort.

    -Mais tu es stupide, quoi ? Ou tu as déjà vu un squelette mort, bouger ?

    -Non, jamais, mais que je l’ai senti, c'est la vérité.

    Pour avoir la certitude que le squelette ne pouvait pas bouger, ils ont  soulevé la couverture  et en vérité, il se trouvait toujours dans la même position, toujours à montrer les dents comme s'il riait.

    -Tu vois ? il et bien paralysé avec le coteau de boucher entre les côtes.

    Et plus tranquilles,  ils ont continué le chemin pour la morgue.

    Une fois arrivés, ils ont déposé le corps du squelette sur une table en marbre, bien froid pour bien le conserver.

    Même dans le noir un groupe d'asticots si sont aventurés à aller le visiter, ils avaient faim, ils étaient des asticots pauvres, de ceux qui n’ont pas de domicile fixe.

    Tout doucement ils se sont approchés du squelette avec le chef en tête.

    -Bah... nous n'avons pas de chance.

    -Alors pourquoi, chef ?

    -Partons, il n'y a rien à se mettre entre les dents, je crois que celui-ci, est déjà passé par là et un autre groupe notre rival, a fait un festin.

    Neuf heures du matin. Les portes du bloc mortuaire se sont ouvertes et... stupéfaction ! Du squelette, ni même pas l'ombre, il avait disparu.

    -Cela doit être des amusements des étudiants, a dit le médecin légiste, si je les trouve, leurs oreilles vont rester rouges pour quelques temps.

    Tout le monde a cherché le squelette partout et rien.

    Le squelette, même avec un gros couteau entre les côtes , est revenu en vie pendant la nuit et comme la porte était ouverte, il a craché dans les mains, je veux dire sur les os de ses mains, a fait un bras d'honneur et s'est cassé de la morgue habillé avec une blouse blanche et personne a remarqué.

    La nuit était froide et il tremblait tant ,que cela semblait un groupe de joueurs de castagnettes, clac clac clac.

    Maintenant ma petite, tu as voulu te séparer  de moi et tu as offert un couteau à mon corps, il faut que tu puisses battre le record du monde des 10000 mètres pour arriver à te sauver, parce que tu vas connaître vraiment qui est le Peau ni Chair.

    Clac ´clac clac clac, en courant, pressé de trouver un abri pour pouvoir se cacher et attendre que la championne passe par là.

     

     

            


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  • Comment faire?

    Avec cette histoire de l'assassinat du squelette, j'ai l'impression que je suis entré dans une ruelle sans sortie.

    La criminelle est venue parler avec moi a trembler comme de canisses verts, ( canisses rouges, n’existent pas) pour que je fasse le possible de convaincre le squelette  à ne plus la poursuivre.

    Comment faire ? Je ne veux pas me fâcher ni avec le squelette, ni avec la criminelle mais, j'ai à vous dire, que je suis plus du coté du squelette, que de la part de la criminelle, il faut avoir du courage pour assassiner un squelette, il ne faut  pas avoir de la sensibilité humaine mais enfin, chacun tue ce qu'il peut, il y a ceux qui aiment tuer le travail, des autres qui aimeraient  tuer la mort, et il y en a beaucoup qui aimeraient aussi tuer la faim  tous les jours et ils n'arrivent qu’ à faire des menaces, la vie est comme cela faite, faite des choses bizarres.

    J'ai passé plusieurs jours à la recherche du squelette pour lui parler et quelle peine il m'a fait quand je l'ai trouvé, maigre, maigre, mais vraiment maigre, il n'était que de os et os.

    -Cher ami, vous êtes malade ? Je lui ai demandé. Vous avez la grippe A , ou une autre maladie quelconque ?

    J'ai commencé à lui parler comme ça, pour éviter qu'il  puisse s’énerver car s'il m’ avait donné une claque avec ces mains là, dures comme des os, vous  ne voulez pas savoir le mal que cela me ferait, je serais resté avec le visage dans un état tel que même le miroir aurait eu peur de me voir.

    -Non, je ne suis pas malade, tout simplement, je ne mange pas depuis huit jours.

    -Vous ne mangez pas depuis huit jours, et pourquoi ?

    -Parce que je ne quitte pas cette place ou je suis, avant de voir passer la bienveillante dame qui a voulu m'assassiner.

    -Savez vous pourquoi vous ne la voyez pas par ici ?

    -Non, je ne sais pas et ne vous demande même pas... si je la trouve !!!

    -Il ne vaut pas la peine d'attendre, cher ami le squelette, elle n'est plus ici, elle n'est  pas en France, elle est partie se réfugier au Portugal chez un couple d’ amis, comme vous voyez, vous pouvez partir, elle ne reviendra pas par ici, si vous voulez un conseil, partez, aller chercher quelque chose à manger, vous avez un très mauvais aspect, maigre, vous avez les yeux cernés, vous risquer de mourir de faim.

    -Vous avez, peut être raison, si elle n'est plus ici, cela ne sert à rien que je reste là.

    Le squelette est parti, clic, clac, clic clac, clic clac, marchant tout doucement vu son état de faiblesse.

    Moi, content d’ avoir osé et du bien que je venais de faire, je suis allé comme d'habitude au bar ou tous mes amis se trouvaient pour passer une grande partie de la nuit et boire quelques verres, je me divertissais avec eux et comme c'était samedi, je suis revenu chez moi autour des quatre heures du matin.

    Je me suis dirigé vers ma voiture et.... clacclacclacclaacclac.... C’ était le squelette qui courrait ver moi.

    La peur que j'ai eu ! J'ai eu une colique au ventre que je n'ai pas supporté  plus longtemps et le pauvre pantalon est resté dans un état lamentable, j'entendais clic, clac, et je ne savais pas si c'était le squelette ou si c´était qu’il tremblait.

    Le squelette s'est approché de moi et furieux il se préparait par me prendre par le col de ma chemise, mais il s'est arrêté et a commencé à rire, à montrer toutes les dents et s’est exclamé...

    -Eh mec... tu sens mauvais à tomber et a continué à rire.

    -Je suis venu te chercher, j'ai suivi ton conseil, je suis allé manger un peu et comme je ne mangeais pas depuis huit jours, ce que j'ai mangé m'a tombé mal dans l’ estomac et cela m'a donné une gastro que tu ne sais même pas et c'est pour cela que je suis venu te chercher pour me venger, j’exige que tu me donnes l'adresse de la criminelle mais vu ton état , pars, pars, rentre chez toi mais n'oublies pas, je reviendrais pour te parler.

    Moi, je n'ai même pas  regardé en arrière, même les pieds étaient en excès  de vitesse, je suis entré dans ma voiture j'ai démarré en trombe en espérant de plus voir ce monsieur. C'est toujours comme ça, quand je veux faire du bien à quelqu’un,,c’est toujours moi qui paye les pots cassés, enfin !


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  •  Le restaurant

     

    Mois de décembre.

    Monsieur le Maire, comme il faisait tous les ans, a invité les habitants de la petite ville pour la fête de Noël.

    Tôt, les invités ont commencé à arriver  qui se complimentaient dans le jardin en face au restaurant attendant l'arrivée de Monsieur le Maire.

    Conversation par ici, conversation par là, bisous à gauche et à droite tout en très bonne harmonie.

    Monsieur le Maire est arrivé et d'un geste large dirigé à tous les invités a serré les deux mains en signe qu'il complimentait tout le monde d'un seul geste.

    Tout le monde s'est dirigé au restaurant suivant Monsieur le Maire. Une fois dedans, chacun a pris sa  place.

    Monsieur le Maire a dit son discours de circonstance pendant que tout les invités prenaient son apéritif

    Une fois terminé le discours, tout le monde s'est levé et, verre en main...

    -À  la santé de ceux qui sont morts !!!!!! Hip,Hip, Hi...

    Clac, clac,clac,clac,clac,clac......... Clac.

    -Vous, vous profiter de mon problème, quoi ?

    Tous les invités sont restés tétanisés avec la présence du squelette.

    L’illustre épouse de Monsieur le Maire regardait stupéfaite la scène en parlant pour elle même, mais que grand Pays est la France, même les squelettes parlent, marchent dans les rues, ils vont au restaurant … vive la démocratie !

     

    Les verres ont été posé sur la table tremblaient de tel façon, qu’ on dirait que la Parkinson venait de passer et qu'elle avait contaminé tout le monde.

    -À la santé de ceux qui sont mort ! Vous trouvez ça drôle ? Vous trouvez que je suis plein de santé ? Vous avez bien vu mon visage ?

    -Mais... nous ne parlons pas de vous, à dit madame Fifi, toujours aimable. Pour faire voir que nous n'avons rien contre vous, venez vous assoir à mon côté, mon beau !

    -Encore ? Mon beau ? Mais vous trouvez cela drôle ? Moi je ne trouve pas du tout ça drôle !

    Le squelette a commencé à s’énerver et les os  firent clac de tous les côtés.

    Monsieur le Maire a commencé à voir le cas pas trop bien sage et comme un bon pédagogue et aussi un bon diplomate, a commencé à verser de l'eau sur le feu.

    -Bonjour, monsieur le squelette !

    -Âme, je m'appelle Âme.

    -Monsieur Âme, je suis le Maire de notre bourg, Général en Chef de l'Ordre des Templiers et des Ogres  et je vous invite à partager notre repas.

    -Mon Général, vous êtes trop aimable, mais moi, je ne peux pas manger, comme vous voyez, je n'ai pas d’ estomac et j'ai toujours avec moi un sac en plastique qui remplace l’ estomac et aujourd'hui je l'ai oublié.

    -Mais il n'y a pas de problème. Monsieur Patate, un sac en plastique pour notre ami Âme.

    -De combien de litres, a demandé monsieur Patate.

    -Combien de litres ? Mais nous allons boire ou manger ?

    -Les deux choses, mais les sacs sont ainsi nommés.

    Le patron est venu avec un sac rouge.

    -Oh là là.... un sac rouge ? Je ne peux les voir, vert, monsieur, vert, je suis du Saint Étienne, je ne suis pas de Lille  qui sont comme moi, ils sont plus morts que vifs, mais je ne peux pas les trahir.

    Le patron est venu avec un sac vert.

    -Merci. Mon Général, pouvez vous s'il vous plait, me donner votre adresse E-mail pour que je puisse vous contacter ?

    -Mais bien sûr que oui, sans problème.

    Le squelette a pris un agenda et un stylo qu'il avait pendu à une fausse côte, il n'avait pas besoin de l’attacher et a tout noté.

    -Mon Général, vous êtes un homme bon, vous méritez tout, moi, je n'ai pas eu de chance, j'ai tout donné, mais même tout et un jour, j'ai trouvé une femme dans la rue, déconsidéré et moi pour la consoler je lui ai donné a peine un petit bout, je n'ai rien fait de mal. Mon épouse a appris et elle m'a tué, moi, qui depuis toujours lui ai tout donné et seulement à cause d’un petit bout comme ça, elle m'a poignardé et en se retournant vers elle qui était aussi invité et a crié égoïste !!!! Après, dans un acte de repentance.

    -Je m'excuse, mon amour, je sais que j'ai exagéré, pardonne-moi et ils sont tombés dans les bras l’ un de l'autre et lui, a commencé  à pleurer, elle criée, ai,ai,ai,ai, Elle avais les doigts conicés entre les côtes de son époux. Il y avait tant de larmes qui glissaient entre les côtes qu’ on dirait un toit sans gouttières.

    -Dans la salle on pouvait écouter renifler les présents, l'émotion arrivée au comble.

    -Après, j'ai ressuscité parce que l'amour est plus fort et je suis revenu  chez nous mais elle avec la peur que je puisse donner un petit bout  à quelqu’un d'autre , elle m'a enchainé les mains et les pieds.

    -Bon, oubliez tout cela  et regardez, ici même., une place.

    Le squelette s'est assis, il a pris le couteau et l'a mis à côté de sa main, mais personne disait un mot, on pouvait écouter uniquement les fourchettes et les couteaux et le squelette à chaque fois qu'il avalait, on entendait dans le fond du sac... Bounb et le claquer des os à chaque mouvement qu'il faisait.

    Il y avait ensuite une visite au musée mais  le squelette n'a voulu y aller  en disant qu'il courrait le risque de le garder pour le montrer aux touristes.

    Quant au reste, tout s'est déroulé normalement , des discours, de la poésie, des applaudissements et quand le squelette applaudissait, on dirait un bataillon tel était le clac clac.

    Le squelette est parti plus tôt, il se sentait fatigué.

    Une heure après, son épouse est arrivée chez elle ou le squelette l’attendait avec impatience.

    -Eh, dis donc… je suis venu à pieds et je suis arrivé chez nous dix minutes après mon départ du restaurant et toi, en voiture, tu as pris une heure pour arriver. Puis-je savoir ce que tu as fait entre temps?

    -Tu ne me dis pas qui tu es jaloux!

    -Oui, je suis jaloux parce que malgré tout, je continue à t’aimer, mais là ce n’est pas la question, c’est que j’étais inquiet pour toi, il pouvait t’arriver un accident, par exemple.

    Sa femme n’a pas trop apprécié les remarques même gentilles de son époux et une discussion moins agréable a eu lieu.

    -Le squelette s’énerva, a mis son par-dessus et a claqué la porte en affirmant qu’elle ne le verrait jamais.

     

     

     

     


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  • Le squelette a trouvé du travail


    Vu qu'il avait quitté sa maison, il fallait trouver du travail   pour  pouvoir vivre et il l'a trouvé dans une agence nationale des sondages.


    Samedi.

    Comme tous les samedis, les jeunes aiment aller en discothèque, et l'amour remplit la nuit.

    Deux heures du matin en plein Bois de Bologne.

    Clic clac, clic clac, clic clac...

    -Cher ami, attendez-moi !

    La personne en question en voyant un squelette qui se promenait, a commencé à trembler et a mis les mains en l'air.

    -Ne tremblez pas, vous n'avez pas besoin de mettre les mains en l'air, je ne suis pas de la police, c'est pour un sondage.

    -Mon Dieu, mais… mais c'est quoi ça ? J'avais dit à mes copains que j’avais trop bu, mais ils ne me croyaient pas, la preuve est là, j'ai des hallucinations, un squelette qui fait des sondages !... que la Sainte Vierge m'aide, je ne suis pas croyant mais Vierge, viens à mon secours, je t'en prie , criait le jeune homme.

    -Quelle Vierge, quel quoi !!! Vous avez déjà vu des vierges se promener à cette heure là, en plein Bois de Bologne ? Vous pensez que je suis stupide, ou quoi ?

    -Mais..

    -Il n'y a pas de mais ! Dites, vous êtes intelligent ? C'est pour le sondage.

    -Oui, je le suis-

    Bon. Alors, deux plus deux, cela fait combien ?

    -Mais pour répondre à cela, il n'y a pas besoin d'être intelligent.

    Clic clac, clic clac, le squelette a commencé à s'énerver. Si moi, je vous pose la question, répondez-moi.

    -Combien font, deux plus deux ?

    -Quatre, a répondu le jeune homme.

    -Avez vous, la certitude ?

    -Oui, j'ai la certitude !

    -Quelles sont vos études ?

    -Économie.

    -Alors vous êtes instruit mais pas  intelligent mais vous avez raison, la différence est que les temps ont changé mais les intelligences sont toujours les mêmes, regardez, avant, au temps de Salazar qui était un professeur d'économie, remarquable, il disait  que deux plus deux faisaient quatre pour payer, mais pour toucher, cela faisait vingt deux, cela était de l'intelligence !

    Avec la peur, le jeune homme donnait toujours raison au squelette.

    Mais il y a une chose que je ne comprends pas. Comme cela se fait il , étant un squelette, vous faites des sondages ?

    -C'est simple cher ami, je suis un squelette de l’intelligence  qui est morte depuis longtemps et je suis intéressé à savoir comment se trouve la santé de  la nouvelle intelligence, l'intelligence des temps modernes, et comme je suis très envieux, je ne veux pas que l'intelligence d'aujourd'hui soit supérieure à celle de mon temps de jeunesse.

    -Ayez une bonne nuit, jeune homme !

    -Merci, monsieur le squelette, pour vous aussi !

    Et le jeune homme, en marchant, se demandait ce qu'il venait de vivre, était réel ou si s’était l'effet de l'alcool et répétez... deux plus deux égal à vingt deux,  trois plus trois, égal à trente trois, quatre plus quatre, égal à quarante quatre.....

     

    Au loin, sur les pavés de la route, on pouvait écouter, clic clac, clic clac, clic clac....

    -Cher ami, attendez, c'est pour un sondage.....

     

     FIN


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