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    Le jour était beau, le Soleil plus radieux que jamais, et le petit Matéo du haut de ses 10 ans, a décidé de faire une balade dans les champs qui entouraient la maison de ses parents.

    Et il est parti, pas très loin, puisque ses parents n’aimaient pas qu’il s’éloigne de la maison.

    Il faisait chaud, Matéo transpirait et a décidé de se reposer à l’ombre d’un très beau chêne qui poussait allègrement au bord d’une rivière, sans qu’il n’aille pas mouillé son visage avec l’eau pure qui courrait dans son lit naturel.

    Il s’est assis et regardait les animaux qui se croyaient seuls, ils se promenaient tranquillement sur l’herbe, mangeaient un peu d’ ici, un peu de là.

    Tout d’un coup, Matéo a vu une espèce d’avion avec des formes bizarres, avec des lumières de les plus belles couleurs, se poser en plein pré.

    Deux portes se sont ouvertes et des êtres pas comme nous, au nombre de quatre, sont descendus sans avoir besoin d’une échelle.

    Matéo est resté paralysé, non de peur, Matéo jamais il a eu peur de quoi que ce soit, mais paralysé par le pouvoir des inespérés visiteurs.

    Ils se sont approchés. Ils n’avaient pas non plus l’air d’être des êtres méchants.

    -Écoute, espèce d’être, tu es qui et qui? Nous sommes déjà venus ici à plusieurs reprises et nous n’avons jamais vu une espèce pareille, qui marche sur les deux pattes. Nous avons vu, c’est vrai, ceux qui marchaient sur quatre pattes ,mais sur les deux comme nous, jamais.

    Matéo n’arrivait pas ,ne pouvait dire quoi que ce soit, il ne pouvait pas dire un mot.

    -Matéo, Matéo!!!!!!!!!!

    Une petite et jolie fille, qui n’avait pas plus de trois ans, est arrivée brusquement dans le pré.

    -Matéo, Matéo!!!! Ou tu est? Viens, papa te demande.

    Les quatre étranges personnages se sont retournés et ont vu la petite fille qui venait d’arriver.

    Un des personnages a levé la main et la petite est restée paralysée dans la position qu’elle se trouvait.

    Un autre, a pris Matéo par le bras et avec la petite qui n´était que Justine, la sœur à Matéo ils les ont emmené tout les deux dans l’engin spatial.

    Portes fermées et l’engin spatial a pris son vol en grand vitesse vers l’inconnu.

    Quelques heures à peine et il s’est posé dans un endroit ou se trouvaient déjà des centaines d’autres de plusieurs modèles.

    Les éléments de l’équipage sont sortis et ont emmené avec eux Matéo et Justine qui n’arrivaient toujours pas à dire quoi que ce soit.

    Une étrange voiture à deux roues les attendaient et aussitôt il ont été emmené dans un édifice de grande beauté, entouré d’arbres, de plantes et fleurs, d’une exceptionnelle beauté, du jamais vu.

    Une fois dedans, ils sont montés au quinzième étage mais il n’y avait pas d’ ascenseur, c’est comme s’ ils étaient attirés par une puissance invisible.

    Dans un salon orné avec des statues dorées, des peintures de rare beauté, le parterre fait d’une matière noire très brillante, ont laissé Justine et Matéo enchantés.

    Les gardiens étaient présents, mais ils n’avaient pas d’armes. Tous les êtres si étranges, avaient la tête triangulaire, et à chaque sommet du triangle, un oeil, comme ça ils voient tout au tour, les mains n’avaient que trois doigts et les pieds palmipèdes. Les bras étaient longs mais leur stature était petite, Matéo a pensé que s’ils avaient les bras si longs, cela était pour compenser leur taille pour pouvoir attraper des choses qui seraient en hauteur.

    Il n’y avait pas non plus de lustres, lampadaires ou tout autre forme d’illumination, non, la lumière venait des murs qui irradiaient une lumière multicolore douce, en dégradée, très jolie et qui faisait une ambiance très calme.

    Un personnage , avec une cape rouge et verte et doré, est venu s’assoir dans un trône travaillé d’une grande beauté.

    Il a regardé Matéo et Justine et a commencé à poser des questions dans un langage que ni un ni l’autre connaissaient.

    Ce devait être quelqu’un d’une grande instruction vu qu’il a posé des questions et à chaque fois il a changé de langage et à un moment donné il a commencé à parler français.

    -Alors, vous vous appelez comment, a t-il demandé avec une voix douce, vous vous appelez?

    - Je suis Mateo et ma sœur Justine.

    -Comment s’appelle t’il, l’endroit d’où vous venez?

    -Nous sommes d’un pays qui s’appelle France.

    - France, ahahaha quel drôle de nom, ahahah

    - Et ici, vous savez ou vous êtes?

    -Non Altesse, ont répondu Justine et Matéo d’une seule voix.

    - Non! Pas Altesse, mais monsieur, comme vous dites dans votre planète. Ici , nous avons tous nos responsabilités, mais nous sommes tous égaux,

    - C’est naturel, que vous ne le savez pas, c’est la première fois que vous venez ici. Vous êtes dans un planète qui s’appelle Astrolide.

    -C’est joli, á répondu Matéo.

    -Je vais vous poser une question, mais je sais déjà quelle est votre réponse. Voulez vous rester avec nous, ou retourner sur le planète Terre?

    -Nous aimerions bien retourner chez nous, nos parents commencent à s’inquiéter.

    -Je suis d’accord avec vous. Si on vous a amené ici, c’est pour mieux connaitre les habitants de votre planète, j’espère que vous tous soient si gentils que vous, un jour nous reviendrons.

    Entre temps, en compagnie d’un de nous, vous allez faire un tour pour visiter et voir comme il est, Astrolide.

    Un des astrelidosiens a fait compagnie à Matéo et à Justine n’ en croyant pas leurs yeux de ce qu’ils voyaient.

    La flore, d’une beauté paradisiaque, les animaux avaient cinq pattes, deux arrière et trois devant pour la simple raison, qu’ils étaient toujours bien appuyés pour faire leurs travaux et comme cela ils se fatiguaient moins.

    Les habitants avaient toujours un sourire de joie dans leurs visages,

    Les écoles toutes bien équipées, les professeurs étaient comme des copains et tous se respectaient entre eux.

    L’air pur et parfumé, et il n’avait rien d’artificiel, tout était naturel.

    Mateo et Justine, avaient envie de rester, mais ils ont pensé à leurs parents et ont décidé de revenir sur la Terre.

    Une fois leur décision prise, un des engins les ont ramené et pas beaucoup d’heures après, ils étaient arrivés.

    Une fois arrivés, ils ont courus vers leur maison et en chemin ils ont trouvé leurs petits copains.

    -Eh, les copains, venez, venez tous nous écouter. Nous avons eu aventure, mais je sais que vous n’allez pas nous croire.

    - Raconte, on verra!

    Et Matéo et Justine ont commencé à raconter leur belle aventure, mais personne les a cru.

    -Oh les menteurs, ho les menteurs, ho les menteurs et ils sont tous partis en courant et en riant.

    -Matéeeeo, Matéeeeo, viens là mon chéri, c’est l’heure de te lever pour aller à l´école.

    Matéo ouvre ses yeux, regarde son père, a jeté un coup d’œil autour de la chambre, et avec les larmes aux yeux il venait de vérifier que tout n’était qu’un joli rêve

     

     

     

    FIN

     

     

     


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    Décembre, dans une grande partie de notre globe, la Terre, est un mois de fête.

    Non qu’elle commence tout de suite au début du mois, mais la vie s’agite en attendant Noël.

    Les enfants commencent à écrire au Père Noël, en lui demandant le plus beau des cadeaux.

    Les parents, commencent à orner la maison avec un bel arbre de Noël.

    Les cheminées sont nettoyées pour que le Père Noël puisse descendre sans se salir.

    Le Père Noël commence à recevoir les lettres des enfants qui arrivent de tous les coins du monde, c’ est un travail intense tant de lettres qu’ il reçoit.

    La préparation des cadeaux aussi, faire les paquets cadeaux, noter les adresses, et il ne faut pas se tromper.

    Le traineau, pour pouvoir tenir tant de kilomètres, a besoin de faire une révision très importante, et les rênes se préparent pour transporter avec beaucoup de joie les cadeaux aux enfants, mais ils sont seulement distribués aux enfants sages, ceux qui ne le sont pas, ils n’auront rien, car le Père Noël sait tout, il connait tous les enfants et il sait quels sont les enfants qui font de bêtises.

    Vingt quatre Décembre. Le jour tant désiré arrive, les familles se réunissent pour ensemble fêter Noël, les enfants vont laisser à coté de la cheminée leurs chaussures pour ainsi recevoir les cadeaux.

    À l’école les enfants discutaient entre eux des cadeaux qu’ils avaient demandé et qu’ ils comptaient recevoir ce jour là.

    Entre tant d’élèves, joyeux, il y en avait un, moins heureux que tous les autres.

    -Alors, lui a dit un de ses copains, demain c’ est Noël et tu es triste, pourquoi?

    Tu n’as pas demandé au Père Noël un cadeau?

    -Non!

    - Comment cela? Tu as oublié de demander?

    -Non, je n’ai pas oublié de demander, mais je n’ai pas demandé des jouets.

    . Alors, qu’est-ce que tu as demandé?

    -J' ai écrit et j’ai dit que je ne voulais pas un jouet,

    -Et pourquoi cela?

    -Comment veux tu que je sois heureux avec un jouet. Mes parents sont pauvres et malades, ils n'ont pas d’argent pour pouvoir se soigner, alors un jouet , cela ne me dit rien.

    J'ai écrit au Père Noël et je lui ai demandé au lieu de m’ offrir un jouet, qu’il donne de la santé à mes parents.

    -Mais tu es fou? Le Père Noël n’est pas un médecin.

    -Tant pis, je lui demandé quand même.

     

    La neige a commencé à tomber, donnant aux prairies, aux forêts , aux villes, un air de magie, comme si quelque chose de différent allait arriver

    Les rues étaient blanches, les toits des maisons aussi, mais d'un blanc différant, d’un blanc éclatant et scintillant.

    Le lendemain, tous les enfants avaient leurs jouets. Le petit Antoine, lui non .Même ses parents ne lui ont rien donné et ils pleuraient de ne pas pouvoir offrir un jouet à leur enfant.

    Neuf heures du matin 26 Décembre.

    -Roger, vas voir, a dit sa mère à son père, j’ai entendu comme des cloches à notre porte.

    -Des cloches?. Mais oui, tu as raison, je vais voir.

    Le père d’ Antoine ouvre la porte et… surprise! Une jolie petite rêne était là, à sa porte.

    Marie, viens voir, viens Antoine, viens voir une jolie rêne ici.

    -Ne serait elle pas par hasard, une rêne du Père Noël qui s’est perdue? Elle doit avoir faim et soif, papa, fais le entrer.

    -Tu as raison, mon fils et caressant la rêne, il l’a fait entrer dans la maison.

    Une fois dans la salle, ils ne savaient pas quoi donner à manger au joli animal, Antoine lui a donné de l’eau et à ce moment là, la rêne se transforme en une très belle Fée.

    Marie est tombée dans les bras de son mari telle était l’émotion. Antoine n'articulait pas un mot, telle était la surprise.

    La jolie Fée avec sa petite baguette magique, a touché Marie et Roger et tout de suite ils ont récupéré la santé.

    -Antoine. Le Père Noël, a reçu ta demande et il a été vraiment touché. Il m’a parlé de toi et il m’a dit que toi, tu était le plus gentil des enfants, que tu avais un cœur plein d'amour, que tu méritais le plus beau des cadeaux, alors tu vas avoir droit à tes jouets et je viens chez toi, pour t'offrir de la part du Père Noël, le plus beau des cadeaux.

    Faisant un cercle avec sa baguette magique, plusieurs jouets sont tombés doucement dans la cheminée, grâce à l'amour de l’enfant envers ses parents et aussi, grâce à sa gentillesse

    -Marie, je suis guéri!

    - Moi aussi, Roger!

    Les larmes coulaient de joie.

    -Marie, comme cela, je pourrais trouver du travail et l'année prochaine nous pourrons, nous même, offrir à notre enfant un très beau cadeau.

    La Fée assistait émue à la joie qui régnait et en se transformant

    tout d'un coup

    en rêne, est partie rejoindre le Père Noël. 

     

     

    Antoine, à partir de ce jour là, est passé à être l’enfant le plus heureux au Monde.

     

     

     

     

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